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 Quand les juges font appel

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Naku Owiga

Naku Owiga

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyLun 30 Déc - 2:30

Event
Quand les Juges font appel



1 minute et 32 secondes… Seulement une minute est trente-deux secondes de parole effectif… C’est tout ce qu’il faut à certains pour être exaspéré au point de faire des remarques désobligeantes… Et bien, en plus de tenter d’apporter un peu de réconfort à ma belle, cela aura été une expérience sociale intéressante. La façon qu’on les gens de réagir aux palabres est quelque chose de particulièrement révélateur et là, je suis servi. Soupire, déglutissement, transpiration, regard fuyant, et j’en passe… Tous ces petits détails qui peuvent donner de précieux indices sur nos interlocuteurs sont exacerbé dans ce genre de cas et là entre les personnes qui n’écoutent pas, celles qui stressent davantage, ceux qui font bien comprendre que tu les emmerde, il y a un large panel… Mais justement, ça permet de mieux cerner les gens et dans une situation comme celle-ci, c’est très important de faire le bilan psychologique de chacun le plus vite possible, quitte à devenir légèrement antipathique.
 
Alors que j’observais l’assemblé pendant le discours, j’eu le loisir de remarquer bien des choses… L’homme paniqué qui avait saisi le bras de la neko avant de rejoindre Gri et en la collant… Elle avait ce petit regard analytique que je lui connais si bien et je supposai donc qu’elle réfléchissait à quelque chose, étant donné les libertés tactiles que l’homme se permettait, j’en conclus rapidement qu’ils se connaissaient et vu à quel point ma tendre est accro à son travail (ce qui, il faut bien l’admettre affect passablement sa vie sociale), je me doute qu’il s’agit d’un autre Hunter ou quelque chose s’en approchant.
 
Yunaleska, comme on pouvait s’y attendre, s’énervait un peu et commença à apostropher les juges qui nous avaient enlever… Elle, au moins, avait le mérite d’être franche si l’on veut et de s’en prendre aux masqués.
Et évidemment, il y a l’autre brun aux yeux bleu… L’impatient, l’irascible, l’impertinent… Oh, il y en aurait des choses à dire, mais surtout, j’ai peur que son comportement ne pose des problèmes et fasse dégénérer la situation… Espérons que non…
 
Une fois ma tirade finit, le juge blanc se moque de moi et arrive rapidement à l’explication que puisque « beaucoup » de temps a été perdu, il va falloir accélérer les choses… Je reste impassible et écoute attentivement la liste des crimes de chacun, les listes sont assez chargées pour la plupart, et surtout je ne vois pas l’intérêt d’un « procès » dans ces conditions… Ils semblent très sûrs d’eux et je ne vois pas exactement en quoi ils ont besoin de moi ou de mademoiselle FujiwaraOutre que pour satisfaire leurs petits plaisirs pervers qui est de voir des gens décider de la vie ou de la mort d’autre pour une mascarade sous airs de justice…
J’avoue avoir un léger haussement de sourcil et un regard perplexe en apprenant que mon conseil à Rose de se sauver de cette histoire de fou et de sa visible gentillesse a été perçu comme des menaces… La question qui m’effleure rapidement est : Est-ce que Rose l’a perçu comme une menace ou sont-ce ces abrutis qui aiment déformer les choses… Le premier cas serait triste… Le second affligeant…
 
J’essaie le plus possible de garder un air stoïque, car même si mon cerveau est en train de partir dans tous les sens et surtout celui du méprit, je garde cette boule de peur et de colère dans l’estomac.
C’est quand le juge de neige finit de parler qu’un autre se lève pour se plaindre, premièrement de son manque de sérieux, secondement de ma présence… Dans son petit dialogue, j’ai d’ailleurs la confirmation que le blond est effectivement un Hunter. Je me dis alors que les nens des juges doivent être vraiment puissant pour s’entre prendre à des hunters professionnels de la sorte et je me retins alors de déglutir.
Cependant, mon cœur s’allège quelque peu quand je l’entends dire que Griselda n’a rien à faire ici avec les autres accusés, cela me fait dire qu’il y aura au moins une personne autre que moi pour la défendre.
 
Leur discussion s’arrête, tout le monde se remet en place, même si je remarque bien le stress d’un des juge… Celui en blanc s’adresse à moi avec ces simples mots : Nous vous écoutons.
Je regarde les juges autour de moi et je les accusées, je prends une inspiration calme avant de rétorquer simplement :

 
-J’entends bien… Sérieux et laconique…
Non-coupable.
Non-coupable.
Non-coupable.
Non-coupable.

Justification ?
Présomption d’innocence.

 
Je suis le plus sérieux du monde en rendant ce verdict. Le principe de présomption d’innocence prévaut sans preuve, or là, on ne m’en présenté aucune. De surcroît, quand je vois comme mes propos ont été déformés, je ne fais clairement pas confiance à leur chef d’accusation… Encore moins que je ne l’aurai fait sans cela en tout cas, car il faut bien l’admettre, je ne compte pas croire sur parole un groupe de kidnappeurs détraqués.




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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyJeu 16 Jan - 0:06

« L'histoire du monde est le jugement du monde »
Von Schiller
Prenant sur lui, Aedan retint le soupire entre ses lèvres quand la voix de Lewis résonna. Suintant d’agressivité, ces mots là le mettaient mal, serrant sa gorge et crispant légèrement sa main sur l’épaule de Winfell. Y aller de son commentaire était aussi inutile que ce long discourt, et il espérait pour le barman que le juge invité n’était ni rancunier, ni incapable de faire la part des choses. Ou le verdict final allait nécessiter d’agir, il ne savait encore comment. Du coin de l’œil, il regarda Lewis et la clope toujours entre ses lèvres, se retenant de pincer les siennes.  Le plus inquiétant était le tempérament du barman. Son cynisme et son besoin d’avoir le dernier mot. C’était quelque chose qu’il avait de suite senti à Dollet, et qui s’était vérifié quand il avait entendu ses pas derrières lui en quittant le bar. La variante du stress ajoutée au tableau, il ne savait absolument pas à quoi s’attendre de la part de l’homme, qui semblait extérioriser la pression par l’agressivité. En se basant sur l’avis qu’il avait des Hunters, Aedan imaginait assez approximativement ce que Lewis pensait des juges. Et tout ce qu’il craignait, c’était une crise de nerfs où le barman leur renverrait certaines vérités, en plus de chercher à porter ce masque de salaud dont le Hunter avait beaucoup de mal à comprendre le but. Ou du moins la raison. Lentement, il tourna la tête vers lui, chaque geste étant maîtrisé pour être le plus calme possible, et ne pas irriter un peu plus Lewis.
 
« Du calme Lewis, tu dis rien d’utile non plus, et ça me semble pas t’être très bénéfique de passer tes nerfs sur un type qui va décider de ton sort. »
 
La voix douce mais ferme, ne cherchant pas à rabaisser mais s’imposant quand même assez pour ne pas être ignorer. En entendant sa phrase, il se rendit lui-même compte de sa maladresse. Le Hunter inspira, chassant l’excuse sur sa langue et le marrasse négatif menaçant de prendre d’assaut son cerveau et de le détourner des événements actuels en ralentissement ses capacités d’analyses aux priorités déjà déroutantes pour tous le monde, à commencer par lui. Son regard retourna se poser sur les juges, repartant régulièrement vers la bombe à retardement qu’était le barman, pour chercher sur son visage un tic nerveux qui le trahirait.
 
A la main de Wynfell se posant sur la sienne, il se crispa, n’ayant pas vu venir le contact. Le doigt qui se mit à taper soigneusement contre le dos de sa main capta toute son attention, alors que son regard sur le juge principal se faisait légèrement plus fixe. Les derniers mots taper par la Lost-Hunter agitèrent un malaise en lui, et tout son cerveau se mit à tourner ces phrases prémâchées pour rassurer, cherchant celle qui conviendrait le plus à la plus jeune. Wynfell était un esprit rationnel, le problème des esprits rationnels étant qu’il était très dur de les calmer, puisqu’ils savaient pertinemment qu’un « tout va bien » n’avait aucun poids, surtout pas dans leur cas. Il fallait trouver de vrais arguments, et ils s’évertuaient pour l’instant à lui échapper, lui-même n’arrivant pas à voir plus loin que les dix prochaines minutes pour l’instant. Wynfell avait raison, il fallait attendre. Le tressaillement infime qui prit la Lost-Hunter au cri de la femme-animale – Kuroneko avait dit le juge – ne lui échappa pas, et il profita du prétexte pour retourner sa main et prendre celle métisse au-dessus de la sienne, cherchant à cacher ses doigts avec les siens. Aedan inclina légèrement le buste vers elle, légèrement à sa gauche, essayant d’attraper son regard. Pour il ne savait quoi, essayer de la rassurer, savoir mesurer à quel point la peur prenait de place entre ses côtes, quand bien même elle devait savoir le dissimuler à merveille. En même temps, il tapa doucement contre son dos, de sa main restée sur le dossier de la chaise :
Ok.
Respires, concentrée. Panique inutile.

 
Il y avait peut-être une façon universel d’apaiser, mais il n’en savait rien, tout comme il ne connaissait pas assez Wynfell pour savoir ce qui sur elle, marcherait. Il n’y avait rien de rassurant dans ces mots, mais il avait instinctivement appliqué la méthode qui sur lui fonctionner : le fatalisme et la logique pure, paniquer ne servait à rien, se décourager était inutile, alors autant se démener comme un beau diable jusqu’à sa mort.
 
Déclamant leurs crimes avec cette éloquence qui lui donnait envie de vomir, le juge principal capta toute son attention d’un coup. A chaque crime, il tentait de se rappeler quelle en était la peine, à Sahelta comme ailleurs – ils n’avaient pas tous la même nationalité ici, à commencer par lui et peut-être Wynfell aussi. Kuroneko pouvait s’en sortir à bon compte, mais les choses se corsaient pour Lewis.  Immédiatement ses côtes comprimèrent ses organes, et il ferma les yeux pour regagner son calme. Au moins avait-il la confirmation que le barman n’était pas qu’un barman.  Et en fonction de ce dans quoi il avait trempé, si des gens étaient morts à cause de lui, les juges risquaient de ne pas être cléments. Finalement Wynfell était pour l’instant celle avec le moins d’accusation, mêmes si cela n’excuse pas forcément tous, les crimes les plus justifiables. Il en savait assez sur elle pour penser qu’elle n’avait agis ainsi que dans son travail, et parce qu’elle y était obliger. Outrepasser les lois lorsque cela était nécessaire pour ce que l’on considérait comme juste, c’était quelques choses que leurs kidnappeurs auraient du comprendre.
 
Obnubilé par les crimes des autres jusque là, Aedan entendit son rythme cardiaque doubler de vitesse quand il comprit qu’il ne restait plus que lui. Son regard se planta dans celui du juge, imperméable à tout, décidé à ne pas le lâcher des yeux avant qu’il n’est finit de parler. Les muscles de sa mâchoire ressortirent sous la crispation avant de se détendre, la totalité de son corps se résumant un instant à un bloque de tension qui menaça d’exploser avant de refouler. Sa main sur l’épaule de Wynfell se fit plus légère quand le juge le décrivit comme le pire cas présent et qu’il la senti se tendre avec une sensation désagréable logée dans le ventre, difficilement résumable autrement que par l’impression de souiller tout ce qu’il allait toucher dans les prochaines heures. Certains mots le firent tiquer, à commencer par la description de sa sœur comme une criminelle, un plie mauvais manquant se dessiner prêt de la commissure de ses lèvres. Le juge principal jouait avec les mots, se permettant des précisions qui n’avaient à rien faire un jugement se vantant de remplacer ceux des tribunaux. Ils en disaient trop ou passer, et quand sa sœur passa de criminelle à fragile jeune fille, ses dents se serrèrent. Précises que j’harassais des meurtriers fous quitte à faire, connard. Dans sa tête, les accusations faîtes contre les autres repassèrent rapidement, imprécises, dans le mauvais sens, certains remplacés par d’autres. Il devait oublier ce qu’il avait entendu. Les accusations n’étaient pas infondées, néanmoins elles pouvaient être appuyées. Mécaniquement, le Hunter tenta de replacer tous ses crimes, ses paupières se fermant un instant à la terrible énoncée. Meurtre avec préméditation. Moins d’une minute de préméditation en soit, pourtant il était parti un fusil à l’épaule. L’époque où il pensait tout connaître de la violence, alors qu’il n’en avait goûté que certaines formes, et d’un seul côté de la ligne.
Si quelqu’un devait y passer au final, ce serait sûrement lui. Il était le seul dont les crimes pouvaient valoir la peine de mort. Ce serait lui, et bizarrement, il n’en ressentait rien ou presque, incapable de mettre une valeur sur sa vie. La perdre en protégeant était la seule condition qu’il c’était imposé, et s’il fallait si peu pour satisfaire la justice maintenant à ses yeux assez vicieuse des juges, soit. Et tant qu’à faire, autant se laisser porter par ce jeu qui n’amusaient que ceux derrières la vitre – et encore, « Nico » et ses épaules crispées semblaient signifier l’inverse –, et écouter ce qu’ils avaient à dire, tout en gardant assez de distance pour voir venir les autres manipulations du juge.
Mais avant cela, il devait avoir l’assurance que tout ce qu’il pourrait dire n’influencerait pas le verdict des autres, et que d’un mot maladroit, il ne couperait la tête de personne.
 
Y avait moyen que son stress grimpe un peu plus, il ne l’aurait pas cru, et pourtant voir un juge se lever suffit à cela. Ses épaules se raidirent, et il s’efforça de laisser les mots glisser sur lui, les yeux froidement dardés sur le juge. Diviser pour mieux régner sûrement.  Technique qui semblait être un beau raté, à l’absence de réaction qu’il sentait dans l’épaule de Wynfell. Mais dans le doute, son doigt vint doucement tapoter dans le dos de la Lost-Hunter.
Groupe priorité, parlerons plus tard.
 
En entendant le juge invité à peine parler, il sentit un sursaut de tension pulser dans ses veines. Peut-être était-il trop prompte à s’écraser, mais jouer au plus malin avec les juges lui semblait être la première chose à éviter, quand bien même une part de sa tête riait doucement de l’insolence de l’homme. Rire qui cessa bien vite pour laisser place à la consternation devant le verdict qui tomba, certes logique avec le discourt de l’homme plus tôt, mais quand même inattendu. En effet, les juges n’avaient donnés aucun contexte, aucune preuve. Pourtant si les accusations étaient vraies pour lui, elles devaient l’être pour les autres.
 
Rassemblant assez de control pour maîtriser le moindre muscle de son corps, Aedan tourna lentement la tête vers le reste des jugés, cherchant le regard de Yuna en premier, pour l’intimer au calme. Quand bien même il ne faisait pas plus confiance à Lewis qu’il soupçonnait d’être entrain de bouillir intérieurement jusqu’au moment où il exploserait.


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Lewis Freeman
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyJeu 16 Jan - 10:49


Déguisements X Gala X Journalisme




Bon sang, tout ceci semblait irréelle. Tout ce qui se passait devant lui n’était que folie tirer d’un film. Alors quand le blondin l’intima de se calmer, un regard de glace se posa sur lui. Le brun aurait bien voulu lui foutre un coup au visage. c’était quoi son problème hein ? Il se taisait et regardait ses types comme-ci tout était normale, de tout façon si ce type avait le moindre pouvoir, parler ou ne pas parler revenait au même. C’était juste un homme avec du pouvoir et soit il allait jouer au chevalier blanc, soit le méchant de film ou pire encore il allait jouer au petit malin ce qui était peut être pire.


« Qu’il parle encore au meilleurs des cas je me serais déjà noyer sous ses paroles. »


Il avait juste lacher ça, au moins sa permettait de ne pas avoir l’impression d’être complètement à la merci de ce qui se passait autour de lui.
La jeune fille aussi se mettait à parler visiblement bien remonté aussi. Cependant quand elle annonça qu’il allait lui reprocher d’avoir tuer son clan, le corps de Lewis se crispa. Il regarda un long moment la jeune fille, puis regarda rapidement autour de lui. Il aurait aimer que ce soit une mauvaise blague vraiment. Tout ceci était de l’ordre du surnaturel pour lui, se qui lui fit lâcher un long soupire agacé.


Lorsque l’homme en blanc décida de parler des crimes, Lewis regarda l’homme les bras croiser. Il écoutait simplement, fatiguer de tout ça, alors qu’il n’y avait qu’une seule fin possible. Quand se fut son tour les doigts du brun tapotait son bras assez rapidement. Ils avaient une belle liste de ce qu’il avait fait, comment ils avaient put amasser tout ça ? S’il citait ça c’est sûrement qu’ils avaient des preuves, près à couper l’herbe sous le pied des petits malin. Les autres aussi avaient quelque casseroles derrière eux. Ce qui était étrange c’était que l’homme en blanc insinuait des chose envers la De Wynfell, visiblement il devait s’attendre à un déclic de la part de quelqu’un… et visiblement il n’y avait rien.


Lorsque la main du juge arriva vers le hunter, le brun regarda du coin de l’oeil le jugé. La liste était courte mais intense. Alors voila ce qu’il était rien de plus qu’un hunter finalement. Ils avaient tous plus ou moins de crimes à leurs actifs, mais il est vrais que certain était plus charger que d'autre.


Voilà qu’enfin arrive le moment décisif, les sentences, il était à la fois presse dans finir, mais également angoissé de ce qui allait se passé. Bon la déclaration du juge invité fit lever les yeux au ciel du brun, enfin surtout la chute de celle-ci. Juste ça, comme-ci il n’y avait rien de plus. Lui qui était fils d’avocat cela lui arracha une grimace. Comment on pouvait laisser des gens comme ça juger des autres. Son regard se porta vers les autres juges attendant la suite qui risquait d’être moins sympathique. Cette fois il allait falloir se défendre et son esprit était déjà en cours de recherche de se qu'il avait pu voir quand il voyait ses parents au barreau.



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Yunaleska Zoldik
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyLun 20 Jan - 14:57

Les juges prirent le temps d'exposer un à un chaque crimes que les gens avaient commis dans cette pièce. Je sentis quelques regards lourds sur moi, je répondis avec le même regard de mépris. Les gens qui me regarde ainsi, me rappel les habitants de mon ancien village... Tous aussi dégueulasse les uns que les autres. Surtout cette gamine aux air de fifille bien sage, j'avais envie de lui dire "Il y a un problème?!", mais je me pinçais intérieurement en me disant que cela ne sert a rien de lui parler... On règlera peut être ça dehors.


Je repris mon calme quand le blondinet et Lewis-san se "disputait"... Apparemment, ils ont l'air de bien se connaitre. Tout d'un coup, je me sentis nerveuse quand les juges avaient fini d'énumérer nos crimes. Est ce que j'allais finir enfermée, où bien, la peine de mort est peut être d'actualité dans ce pays... A vrai dire, les lois, la politique et tout le tralala... Ce n'est pas mon fort. Donc je n'en sais rien si elle a été abolie ou non. Je me cala contre un mur pour me détendre et penser a autres chose en attendant que les tremblements nerveux passe...
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Hanaki Fujiwara

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyVen 24 Jan - 11:40

[size=42]Je ne sais pas du tout quoi faire, mis à part rester sagement assise à écouter tout les crimes être étalés. Je ne connais rien aux droits et à la justice. Pour une usurpation d'identité normalement on ne paye pas une grosse amende ?[/size]

[size=42]Je ne sais pas ce que je fais là. Un jugement ne devrait pas se passer ainsi, ce n'est pas normal. Tout ce que je veux c'est rentrer à la maison et retrouver grand mère. Vivement que je puisse partir d'ici… Je ne dis rien et je reste attentive à ce qu'il se passe actuellement. Je donnerai mon avis au moment opportun. [/size]


[size=42]Le fait[/size][size=42] que je connaisse l'homme à côté de moi me rassure cela dit. J'ai moins peur d'être là même si j'aurai préféré ne pas y être...[/size]
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptySam 1 Fév - 14:15



Quand les juges font appel


 En entendant les paroles ne Naku, le juge en blanc soupira un peu, voila qui était des plus prévisible, il tourna donc sa tête vers les trois autres juges, vu que visiblement la jeune fille n’osait pas bouger. Le roux se leva regardant la salle de toute sa hauteur, il mit un peu de temps à parler, mais fut vite interrompu par l’homme qui sentait le lys qui prit la parole. Le roux s’assit bien vite pour le laisser parler.
« Mademoiselle Dewynfell est pour moi non coupable, Monsieur Fitz est coupable de ses crimes en dehors de ses fonctions, Monsieur Freeman est coupable et Mademoiselle Kuroneko est coupable. Leurs crimes étant plus ou moins grave selon la personne les sentences devrais être pour moi de la même nature. » Il resta debout à regarder les personnes, jusqu’à ce que la plus âgé d’entre eux se leva, elle semblait respecter des trois autres hommes et celui qui était debout s’assit assez rapidement. Elle regarda en direction des accusés.

« J’imagine que vous avez tous de très bonne raison d’avoir commis vos crimes, c’est bien souvent ce que nous entendons. En vu des preuves que j’ai pu observer, vous êtes pour moi tous coupable, mais comme nous avons une invité d’honneur votre sentence sera pour moi « la purge ». N’ayez crainte nous n’allons pas vous tuez ou du moins cela ne serait pas de notre fait, mais uniquement de votre faute à vous. Vous connaissez peut être Lilith Azarov ? Elle est parmi nous enfin appelons la par son vrais nom Théodora Lance »


L’homme en blanc la regardait parler, elle lui volait son moment mais n’osait pas couper la parole de la vieille femme. La femme leva la main vers le mur du fond puis dans un léger bruit le mur gronda et laissa apparaître la grande blond de York Shin accrocher au mur du fond.


« Voilà notre invitée, mais je vous laisse expliquer « la purge » très cher. »

La femme s'assit à nouveau sur son siège puis croisa ses jambes en regardant en direction du juge en blanc. Celui-ci se redressa, puis avança vers le mur en face.

« La chose est simple, Théodora à commit des crimes c’est une évidence pour tout le monde, vous allez devoir choisir c’est les crimes que je vous donne son vrais ou non. Si vous avez la bonne réponse elle restera attacher, dans le cas contraire, une de ses chaînes se détachera. Comme vous pouvez le voir il y en a cinq, une à son cou, une a chaque poignets et deux pour chaque jambes. Si toutes ses chaînes se détache en plus d’être libre, nous injecterons à notre chère reine du crime un produit afin qu’elle perde le contrôle et vous massacre. »


Petite info:


L’homme en blanc les regardes chacun leurs tours. Esperant qu'aucun d'eux ne tente quelque chose de stupide, puis son regard se posa sur Griselda, l'invitant alors à jouer au jeu. Vu que visiblement au vu de tous ce qu'ils faisaient était un jeu pour eux. De plus visiblement cela était "amusant" pour la population les télé réalité alors autant leurs donné ce qu'ils veulent. 


«  Nous commençons par vous. Pensez vous que Théodora à déjà séquestré quelqu’un ? »


Par la suite il regarda Naku, Aedan, Lewis, Yuna, mais aussi Hanaki. Proposant les crimes suivant pour chacun d’eux.


«  Trafique de drogue » (Naku)


A chacune des réponses il regarda les chaînes de la blond au mur, pour voir ce que cela allait donner.


« Viol » (Aedan)


« Cannibalisme » (Lewis)


« Vol »(Yunaleska)


« Hacking » (Hanaki)

« Trafique armes» (Griselda)


« infanticide » (Naku)


« Culture de drogue » (Aedan)


« Insulte à agent de police » (Lewis)


« Meutre » (Yunaleska)


« Exclavagisme » (Hanaki)



codage par Laxy Dunbar.
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Lilith Azarov

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyDim 2 Fév - 10:17

Quand les juges font appel
"Tout jugement est une épitaphe."

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Encore une fois, la journée de Lilith avait été aussi pertinente que celle d’une huitre. Elle n’avait fait que rôder dans son immense demeure, cherchant une occupation et elle s’était finalement décidée à s’asseoir dans l’immense sofa qui trônait dans la salle de réception. L’ennui était devenu son nouvel ami et elle le détestait. Elle préparait son retour, certes, mais l’ancienne reine devait attendre. D’habitude elle adorait cela et prenait un malin plaisir à regarder le temps qui défilait… quand elle était sûre de sa position.


Elle ressemblait à un lion en cage, elle n’arrêtait pas de bouger et passait le plus clair de son temps à traîner dans les jardins ou à s’entrainer. Parfois elle donnait des indications plus ou moins vague ou elle aidait Béatrice à réapprendre à marche.
Dans son sofa, elle regardait son entourage s’activer et…elle avait l’impression d’être terriblement âgée. Lilith se sentait comme une grand-mère sur son lit de mort : la vieille bique à qui on ne parle plus que pour espérer avoir une part d’héritage. Son regard coulait d’une personne à l’autre : parfois ils s’arrêtaient pour lui adresser un regard ou un signe de tête mais la majorité se contentait plutôt de passer devant elle d’un pas rapide.
Dans un immense soupir, elle se redressa difficilement. Pas que son corps ne supportait plus son propre poids mais peut-être que la perte de son royaume l’avait plus affectée qu’elle ne le pensait. La grande blonde s’avança doucement vers Victor et le prévint qu’elle allait se promener dans les jardins. Sans doutes qu’il n’en avait rien à faire, mais si un problème survenait c’est vers elle qui allaient tous courir, autant qu’ils sachent où elle se trouve.
La hyène ne prit même pas la peine de vérifier si la chaleur extérieure convenait à sa tenue du jour : un simple chemisier en voilage transparent noir, attaché par un unique bouton donnant un immense décolleté ; le tout rentré dans un pantalon en toile noir. Elle n’avait ni bijoux, ni chaussures mais elle s’en moquait bien, elle voulait juste prendre l’air. Prendre un peu d’air frais avant d’exploser.
Elle posa un premier pied dehors et la texture molle de l’herbe sur sa peau nue lui arracha un léger sourire. Pourtant, les jardins n’avaient rien de magnifique, au contraire : ils étaient mal entretenus et paraissait n’avoir jamais vu une tondeuse à gazon. Lilith aimait ce lieu, il l’apaisait et lui rappeler de doux souvenirs et, sans faire attention, elle avança vers le plus beau spot : un immense arbre à la ramure orangée.
C’est uniquement quand elle arriva à ses pieds qu’elle trouva que quelque chose clochait. Son instinct lui criait de faire attention. L’ex reine remarqua les personnes pile quand l’un d’eux tira avec un petit pistolet. Son regard orangé se plongea alors dans celui d’un des hommes et elle laissa exploser son nen. Sans doute qu’elle aurait pu éviter le projectile, mais elle n’avait pas l’envie de l’esquiver. Peut-être qu’un bon vieux kidnapping allait occuper un peu sa journée.
Elle ressentit une petite piqure puis une immense vague de chaleur et enfin… le noir. La douce sensation des ténèbres qui s’empare de ta conscience et elle s’y laissa aller.

***


Quand elle se réveilla elle sentit la dure fraîcheur d’un mur contre son dos et surtout, la sensation relativement familière d’être accroché en hauteur. Lilith cligna plusieurs fois des yeux pour s’habituer un peu à l’obscurité et essayé de voir quelques petits détails qui pourrait lui être utile. Sans grand succès. Puis elle bougea ses bras afin de savoir comment ces débutants l’avaient accrochée. Résultat : par les poignets, le cou et un dernier verrou pour les chevilles. Dans une attitude relevant du pur réflexe, elle essaya de se décontracter la mâchoire en l’ouvrant. Mouvement rapidement bloqué par l’énorme cerceau de fer qui lui bloquait le cou. Elle lâcha un soupir agacé, maintenant qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas ouvrir sa bouche en grand, elle avait encore plus envie de le faire.
Elle se décida donc à prendre son mal en patiente en fixant un point invisible. Cependant, quelques sons attirèrent l’attention de la hyène. Le sentiment désagréable laissa vite place à un ressenti plus fort: la curiosité liée aux voix qu'elle distinguait à travers les murs.
Elle n’était pas seule. Deux possibilités s'ouvraient alors à elle: soit il s'agissait de ses ravisseurs qui discutaient, ravis de leur prise, soit il s'agissait d'autre rats attendant de quitter le navire.
Voilà bien la différence entre elle et les autres matelots: elle ne voulait pas partir de cette embarcation. Elle voulait se dresser en face du capitaine et lui faire faire un tour de waterboarding.
Lilith n'arrivait pas réellement à entendre ce qui se disait mais elle pouvait distinguer 7 ou 8 voix. Sa première idée fût de se demander  pourquoi elle n’était pas conviée à cette petite sauterie. Puis elle songea que c’était sans doute car elle était le plat de résistance de ce magnifique buffet. Elle finit même par reconnaître deux voix : celle du petit journaliste de sa fille et celle de la menteuse. Un rictus moqueur naquit sur son visage à l’idée d’être dans la même pièce que ces deux personnes. Rien de mieux qu’une arrivée en fanfare pour rappeler au monde sa propre existence.
Un frisson bienvenu lui parcouru l’échine, celui de l’excitation et de l’adrénaline qui commençait à courir dans ses veines et elle sentit ses muscles se tendre sous sa peau. En quelques secondes, elle eut l’impression de rajeunir et de redevenir celle qu’elle était il y a 50 ans : la Lilith qui ne connaissait pas ce que l’avenir lui réservait, celle qui attendait simplement le prochain mouvement du monde, son éternel ennemi.
Pour passer le temps, elle s'amusait à taper l'arrière de sa tête contre le mur afin de battre un rythme qu'elle seule pouvait entendre. Pour certains, il pouvait s'agir du tempo d'une chanson, pour d'autre celui des battements de son cœur. Mais pour elle, il s'agissait simplement du rythme des secondes qui la séparait d'un divertissement bien mérité. Comme le téléspectateur impatient attendant la suite de son émission pendant les pages de réclames.
Soudain, les voix se calmèrent. La vitesse de leurs paroles s'etait considérablement ralentie et ils semblaient attendre quelque chose.
Elle prit son mal en patiente et fixa un point dans le vide pour se concentrer. Naturellement, elle ferma les yeux et retroussa légèrement son nez dans une grimace de concentration. Mais avant qu'elle puisse réellement capter des mots, un grondement se fit entendre et elle ouvrit les yeux, prête à agir.
La lumière qui filtra lui attaqua la rétine mais elle se força à garder les yeux ouverts. Son regard orangé se posa alors sur toutes les personnes présentent dans la pièce et son sourire s'élargie quand elle reconnue quelques visages.
Quand le type l'appela par son vieux prénom, son rictus s'effaça et elle le fixa d'un oeil mauvais. Elle ne prenait même plus la peine de réellement écouter ses paroles car une question tournait en boucle dans son esprit : comment ils savaient ça ?
Cependant, elle songea à son image et elle se reprit pour contempler les autres invités avant de hausser sa voix:

-Permettez-moi de m'introduire: pour ceux qui ne m'ont jamais rencontré, je suis Lilith. -son regard de prédateur s'écrasa sur le juge le plus proche d'elle- ou Théodora pour les petits malins. Comme vous pouvez le voir, je ne suis pas en mesure d'exiger quelque chose, appelez-moi donc comme vous le souhaitez.

Son sourire s'élargie, dévoilant ses crocs acérés et elle posa son regard sur chaque personne, une par une, en commençant par Lewis:

-Mon chouchou ! Mon petit mange merde préféré ! Comment vas-tu ? Tu as l'air en forme !

Puis elle passa à Griselda:

-Et toi alors ? On ne traîne plus avec ses potes criminels ? Le petit brun et le grand blond un peu agressif ?

Son regard se posa alors sur Yunaleska et une pointe de colère perça dans sa voix:

-Et il y a même la menteuse traîtresse ? J'espère que tu te vautre bien dans l'appartement que je t'ai donné !

Avant de réellement s'agacer, son attention se porta alternativement sur Aedan et Naku:

-On ne sait jamais rencontré mais je vous connais un peu. -elle regarda le binoclard- ma fille m'a parlé de votre petite escapade au casino ! L'amour de l'argent et du risque, il n'y a que ça de vrai ! -puis elle se tourna sa tête vers le blond- Et toi ! Le hunter qui veut faire des plans avec les criminels ! J'adore l’homme prêt à bafouer la morale pour arriver à ses fins !



Pour finir, elle cligna des yeux en remarquant la gamine puis elle lui parla avec une voix qu'on réserve habituellement pour s'adresser aux chatons:

-Bah ! Qu'est-ce que tu fais là toi ? Tu t'es perdue ? Ou alors tu es une GRANDE criminelle qui fait peur à ces guignols masqués !

Elle se détendit, autant que possible, et regarda la foule avec un sourire provocateur :

-Vous voulez jouer ? J'adore les jeux ! Surtout quand je suis l'actrice principale des jeux ! Surtout quand on me laisse parler. De ce fait, j'ai le droit d'influencer un peu les joueurs. -elle s'adressa alors aux autres captifs- si vous me libérez, je vous jure que vous ne le regretterez pas, et ce n'est pas une petite piqûre d'adrénaline qui va me faire perdre un contrôle que j'ai depuis bien longtemps. -son sourire disparu au profil d'un air particulièrement grave- Mais si vous ne me libérez pas, vous le paierez très cher quand je sortirai d'ici !
 

Cette menace fût accompagnée d'un afflux de nen agressif et d'un rictus mauvais.

-En attendant, je ne peux vous souhaitez qu'une seule chose... -elle secoua tout son corps afin de faire tinter les chaînes-... Amusez-vous bien !
 
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Griselda DeWynfell
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyLun 3 Fév - 21:33

Quand les juges font appel


Quand son camarade hunter lui tapa dans le dos pour lui intimer de rester concentrer, de respirer et lui faire comprendre que la panique était inutile, elle sentit un agacement grimper en elle. Evidemment que la panique était inutile, évidemment qu’il fallait respirer et rester concentrée. C’était le genre de chose que Griselda détestait : quand une personne soulevait une évidence. C’était une perte de temps totale. Elle n’était pas stupide. Elle savait ce qu’elle avait à faire.

Quand les accusations tombèrent, elle entendit le jugement de Naku et de la jeune fille. En entendant son dandy donner son verdict sans même demander des preuves, elle haussa un sourcil.  A sa place, elle aurait utilisé cette situation afin de voir si les juges avaient réellement les preuves en question. Même s’ils n’avaient pas utilisés de preuves dans leurs accusations, ils devaient forcément avoir quelque chose sous la main et s’ils refusaient de jouer le jeu, c’est qu’ils n’avaient rien du tout pour prouver ce qu’ils racontaient. Cependant, elle doutait très sérieusement du fait qu’ils ne possèdent aucune preuve, car une chose était sûre, c’est que, en ce qui la concernait, les accusations étaient vraies.

Mais elle mit cette action un peu hâtive de son compagnon sur le compte de l’adrénaline et de l’angoisse. Elle-même avait déjà fait plusieurs actions un peu trop vivement et sans réfléchir sous le coup de la pression. D’autant plus qu’il s’était fait « attaquer » verbalement par plusieurs personnes, sûrement dans le seul but de lui mettre la pression pour l’amener à faire ce genre d’erreur.
Cette pensée fut cependant assez vite balayée par la communication d’Aedan dans son dos. Pour qui la prenait-elle ? Pour une gamine décérébrée qui allait l’attaquer juste à cause de l’accusation sans preuve de kidnappeur ? Pour quelqu’un qui ne savait pas travailler en équipe et qui ne pensait pas d’abord aux innocents ?

Entre l’angoisse et l’agacement, elle se mordit nerveusement la lèvre afin de s’aider à intérioriser. Ce qui l’énervait le plus était qu’il la prenait pour une débutante, pour une gamine qui fonçait dans le tas sans réfléchir. Griselda aurait tolérée cela de la part d’une personne qui ne la connaissait pas. Mais lui, il savait de quoi elle était capable, il savait qu’elle avait déjà fait ses preuves.
Elle tapota alors sur la main d’Aedan, et la première pression qu’elle appliqua était un peu plus forte que la dernière fois. Elle savait que cela ne lui ferait aucun mal, mais il serait tout à fait possible pour lui de capter la forme d’agacement qui accompagna sa réponse :
Je sais.

Et la suite n’aidait guère la Lost-Hunter à se calmer, surtout quand elle croisa le regard de la fameuse Yunaleska. Elle était habituée à ce genre de regard de mépris, mais cela lui permis de retirer définitivement une alliée. Ce qui n’aida pas à la rassurer.
Pourtant, quand son regard se porta sur la plus jeune du groupe, elle relaya les sentiments négatifs qui l’habitaient et se leva pour s’approcher d’elle. Griselda savait qu’elle n’avait pas un physique particulièrement efficace pour rassurer les plus jeunes, mais elles s’étaient déjà rencontrées et cela allait peut-être mettre un peu plus en confiance l’adolescente :

-Hey, t’inquiète pas, on va s’en sortir. On a bien échappées à un parc d’attraction contrôlé par un fou, non ?

La jeune femme n’avait pas associé de sourire à ses paroles, elle émettait seulement des faits en espérant que cela allait calmer un peu la jeune brune.
Quand les juges reprirent la parole, le regard de glace de Griselda se mit alors à suivre les tours de parole de chacun. Au fond d’elle, elle sentit un rictus moqueur apparaître sur son visage : les juges qui se plaignaient que Naku parle trop semblaient pourtant bien plus laxistes quand il s’agissait de s’écouter parler.

Cependant, quand la nouvelle de l’invitée arriva, cette dernière tomba comme une chape de plomb sur les épaules de la De Wynfell. Lilith. Elle l’avait déjà affrontée une fois et elle ne faisait clairement pas le poids. C’était uniquement grâce à Feitan et Phinks qu’elle était encore en vie à l’heure actuelle. 
Pourtant quand elle sentit le regard de l’homme en blanc sur elle et que leurs yeux se croisèrent, elle comprit ce qu’il voulait. Elle devait jouer le jeu ? Il pensait réellement qu’elle était là pour jouer ? Quand elle en aurait terminée avec le Riddler, elle les ferait tomber un à un.

Pourtant, une part d’elle-même se disait que ces tarés avaient réussi à attraper et attacher l’ancienne reine de la pègre, l’une des plus grosses ordures de cette terre était en face d’elle. Elle n’était pas persuadée qu’ils pourraient la garder sous verrou, mais elle savait qu’il la libérerait afin de les punir. Ils étaient autant des criminels que la blonde mais elle ferait ce qui était en son pouvoir pour laisser la hyène enfermée et trouver la localisation du QG des juges. Il suffirait ensuite d’envoyer quelques hunters pour venir avec elle interpeller l’ex reine de York-Shin. De plus, elle ne voulait pas faire prendre de risque à Naku et à la jeune Hanaki. S’il lâchait Théodora sur eux, elle s’attaquerait à la plus faible du groupe, puis à ceux sans nen.

Quand la blonde évoqua leur rencontre, elle déglutit légèrement, se souvenant de la mort qui l’avait frôlée. Mais malgré la menace et le nen agressif de Lilith qui arracha un frisson à Griselda, elle força son regard à se raffermir et, les mains légèrement tremblantes elle haussa le ton :


- Je pense que… Théodora a déjà séquestrée quelqu’un et qu’elle a déjà fait du trafic d’armes.

Sa voix avait légèrement craquée à la fin de sa phrase, mais elle était plutôt satisfaite d’elle-même. Elle n’aimait pas jouer le jeu de ces types, mais elle avait trop peur pour les gens qui l’entouraient et elle savait qu’ils seraient capable de mettre les menaces à exécutions.
 

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Naku Owiga

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyVen 14 Fév - 1:48

Event
Quand les Juges font appel



Cette situation est épouvantable et m’horripile un peu plus à chaque seconde qui passe. La tension est forte et les réactions de certains n’aide vraiment pas… Sans parler des juges, cet homme, Lewis me semble particulière idiot… Le fait de se moquer encore et toujours de moi, alors que j’ai virtuellement son destin entre les mains… Peut-être est-ce un mécanisme de défense pour compenser son impuissance présente ou peut-être est-il simplement un handicapé de l’instinct de survie… Il y a bien une dernière possibilité qui serait qu’il travaille avec les juges dans le but de tester mon self contrôle, mais les probabilités de cette dernière option me semblent plutôt faible.
J’écoute ce qui se dit, respirant calmement pour tâcher de garder mon calme et surtout ma concentration. Avec les stress, je remarque de plus en plus de détails et je voudrais éviter de faire une crise maintenant… Bien évidemment le blond en train de parler en morse avec ma chère et tendre ne m’échappe pas et cela me rassure passablement, l’idée qu’elle ne soit pas seul en cet instant, même si je remarque qu’elle a l’air quelque peu contrarié.
Un juge semble en faveur de l’innocence de Griselda, un autre pense qu’ils sont tous coupable… Mais plutôt que d’organiser un débat, une argumentation et d’enfin présenter ces fameuses preuves… Ces primates cherchant a rassasier leur soif de sang, bien cachés derrière le masque de la justice préfèrent organiser un jeu morbide avec une femme particulièrement dangereuse qu’ils ont capturer et comptent droguer pour qu’elle tue tout le monde si nous perdons le jeu.
Je me crispe quelque peu, la tête baissée, me passant la main dans les cheveux… Puis quand la fameuse Lilith arrive, je sens une vague de terreur m’envahir. Je ne comprends pas ce qui se passe, mon instinct de survis me crie de fuir, qu’un prédateur est sur le point de me mettre en pièce… dans un réflexe involontaire, je me lève d’un bon de ma chaise, la laissant tomber derrière moi. Tétanisé, je suis là debout, fixant la femme comme une biche prise dans les phares d’une voiture… Si la voiture était un monster truck couvert de pic et de scies circulaire me fonçant dessus à pleine vitesse sur l’autoroute…
 
La vague menaçante disparaît aussi vite qu’elle est venue, cependant, je ne peux me retirer cette sensation de la tête… J’ajuste ma tenue et reprends ma chaise pour m’assoir.
Rapidement arrive mon tour de « jeu »… Involontairement je murmure si doucement que même moi ai du mal à m’entendre :
 
-Vous me dégoutez…
 
Puis, d’une voix aussi claire que possible, je réponds à contre cœur :
 
-Au hasard, je pense que cette femme a déjà participé à un trafic de drogue…
 
En réalité, cette réponse n’a rien à voir avec le hasard, j’étais un habitué de sa boîte de nuit et je ne compte plus les quantités de drogue que j’y ai acheté en consommé.
J’ai peur qu’elle soit libérée, qu’elle s’en prenne à moi ou pire qu’elle s’en prenne à Gri… Cependant, je dois bien admettre que la peur mise à part, je voudrais bien qu’elle déchiquète ces juges masqués…




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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyMar 17 Mar - 0:56

« L'histoire du monde est le jugement du monde »
Von Schiller

Il regarda les désaccords internes et le manque d’organisation humaine des juges, loin d’être aussi soudés qu’ils voulaient le faire croire, se servant de ce moment de faiblesse de l’ennemi pour faire retomber sa panique, un  peu de glace sur le feu, une pointe de moquerie s’installant dans un coin de sa tête, et s’accrochant fermement aux sillons de son cerveau quand les informations et les discours de plus en plus semblables se succédèrent. S’il n’y avait eu que lui, il en aurait baillé. Mais ce n'était pas le cas, et surtout, il y avait ce petit bout d’humanité aux yeux étrangement rouges, dont les regards perdus autour d’elle lui faisaient serrer la mâchoire.
 
Aedan n’écoutait les discours à rallonge des juges que d’une oreille, mais un nom le fit se crisper. Peut-être pas pour les bonnes raisons. Son regard jusque là instable, passant d’un accusé à un juge sans se poser réellement se braqua sur la femme, les muscles de sa mâchoire saillant. Ses yeux ne la  lâchèrent pas au bruit grinçant du mur. Détourner les yeux n’était pas nécessaire. Il savait ce qu’il y avait à voir. Il savait surtout que les juges et leur sens du spectacle mal placé ne pourraient pas s’empêcher de décrire ce qu’il y avait à regarder.
Rien ne rata, et en plus des descriptions, vinrent les règles de ce qui semblait être un jeu pour tout les lobotomisés de la pièce. Et l’adrénaline monta.
Il aurait pu encore croire que les juges avaient un fond de bon il y a quelques minutes. Mais puisqu’eux-même ne semblaient pas considérés que les motivations devaient rentrer en compte dans le jugement rendu, il ne voyait pas pourquoi il le ferait aussi. Et son propre verdict, le Hunter le rendait maintenant, en son âme et conscience : de la survie des masqués, il n’avait désormais que faire. Il serait même le premier à aider pour leur arracher la tête.
 
Il encaissa la vague de nen de Lilith sans broncher, l’effet totalement inverse de celui recherché se produisant : Il se senti chez lui. Sous pression, asphyxié, avec plus aucun contrôle, même illusoire sur la situation. Toutes les fioritures quotidiennes envolées, en faveur d’une communication brute ne s’embêtant pas des politesses fausses et hypocrites, des petits jeux de domination éphémère et sans incidence. Et il ne pouvait que batailler pour tenter d’atteindre à nouveau le gouvernail – ou plutôt, retourner à la vie normale, celle qui le faisait angoisser d’un rien.
 
Le Hunter s’éloigna de Wynfell , tapotant une dernière fois sur son épaule "juge roux manipulable", pour se tourner vers Lewis et la fille aux oreilles animales, ses gestes rendus plus vifs et secs par l’urgence.
 
« Okay, stop ! On se la joue pas solo sur ce point, si un de nous se plante les autres prendrons aussi, alors on met se qu’on sait en comment. »
 
C’était l’objectif. Le test. Leurs actions avaient des répercutions sur les autres, des conséquences auxquelles ils étaient sûrs cette fois de ne pas échapper. Il s’attendait à un flot d’informations au courant plus ou moins teint de méfiance ou de panique. Au lieu de cela, les avis en faveur de la proposition qu’il avait préféré d’emblée écarter se multiplièrent, soutenus par des arguments au début plus que flous et fallacieux, puis qui face aux siens, frappèrent de plus en plus juste, à renfort de promesse et de main saisissant son col. Sa patience s’amenuisait à chaque mot, et sa rancœur grandissait, au point qu’il finit par décider d’écoute le semblant de majorité qui semblait avoir prit forme en les personnes des deux plus grands gueulards de l’assemblée.
 
Il inspira profondément, prenant une longue inspiration, avant de planter son regard dans celui de Lewis, tendant lentement une main vers lui.
 
« Ton briquet. Si on part sur votre plan, je vais vraiment en avoir besoin… »
 
Plus besoin de chercher à communiquer à couvert, montrer aux juges qu’ils perdaient lentement le contrôle de la situation était même à leur avantage, pour éventuellement provoquer une interruption du jugement en cour.
Ses doigts se serrèrent sur le briquet et d'un mouvement sec de tête, il remercia Lewis. Aedan prit à peine le temps de regarder les deux, pas très porté sur le solennel macabre d’un homme allant à la potence, avant de se tourner vers Lilith. C’était ainsi qu’il continuerait de l’appeler. Moins de syllabe que l’autre prénom.
 
Le Hunter s’approcha d’elle, une légère crispation dans les épaules, évitant d’abord son regard orangé pour se concentrer sur les chaînes autour de son corps, et les muscles apparaissant sous la chemise sombre. Pas assez entraînée pour arracher les maillons ou les attaches au mur. Mais il était évident que ses capacités n’étaient pas toutes exposées à l’œil nu. Elle n’avait pas pu s’empêcher de le montrer plus tôt. Aedan s’approcha un peu plus, sans écouter les roucoulements de la femme, venant tirer d’un geste sec et maîtrisé sur les chaînes, tendant quelques secondes tous les muscles de son bras et de son dos avant de se détendre. Inarrachable. La triche avait des limites.
Il releva les yeux sur elle, franc et sans filtre, trop énerve et enragé pour que le malaise social qui était en permanence le sien réussit à encore avoir une prise sur lui. Il parla avec le ton plus faible que le manque de distance entre eux imposait tacitement, la voix rendue légèrement plus grave.
 
« Prouvez-nous que la parole d’une reine, même déchue, a un tant soit peur de valeur. »
 
Déviant rapidement vers les juges en une œillade mauvaise et lourde de sens, ses yeux revinrent sur la femme, aussi froids et blindés que sa voix.
 
« Et si la reine veut un coup de main… »
 
Son regard cendré resta encore accroché quelques secondes à celui luisant de Lilith, écrasant de sérieux et de fermeté, pas prêt à céder ne serait-ce qu’un centimètre de territoire face à une reine illusoire. Il était prêt à coopérer, mais pas à s’écraser. Même en se considérant lui-même comme plus bas que terre, il trouvait valoir encore mieux que la déchéance humaine incarnée. Et si elle ne respectait pas sa parole, au moins pouvait-il jouer de façon à s’attirer ses foudres. Le Hunter tourna les talons, avançant vers les deux autres suicidaires sans les regarder, les méninges en remue intensif et le regard aveugle, sourcils froncés et traits verrouillés.
 
« A vos deux questions, dans l’ordre de leurs énoncés, voilà mes réponses : Non, et non. »
 
Voix tonitruante, débordante de rage, et foutage de gueule à la formule raffinée, il vint s’adosser au mur, à côté de Kuroneko, regardant les trois accusés face à eux, les fanfaronnades de Lilith résonant à ses oreilles. A voix toute basse, s’inclinant légèrement contre vers la fille aux oreilles animales, il chuchota :
 
« Si tu la connais, je suppose que tu connais le nen aussi. Tu te sens de te battre contre elle au besoin ? »



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Dernière édition par Aedan Fitz le Mar 17 Mar - 20:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyMar 17 Mar - 10:04

Pour Griselda: aucune chaîne n'à été détacher
Pour Naku: aucune chaîne n'à été détacher
Pour Aedan: une seule chaîne à été détacher
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyMar 17 Mar - 11:07


Retour des juges




Le brun écoutait les paroles des un et des autres, la vieille femme accapara toute son attention, surtout quand elle parla de la purge. c’était quoi se truc, il avait l’impression que cela allait tourné comme dans le film ou les gens s’entre tuaient en toute légalité. Mais la suite le crispa brutalement. Juste un nom qui le fit frissonné d’horreur. Lilith. Et merde elle avait été chopper pour le meilleur comme pour le pire.Un jeu, il voulait jouer des vies sur un jeu ? Mais c’était quoi leurs problèmes à eux ?


Elle semblait d’un grand calme, comparer à l’assemblé qui semblait perturber par l’arriver de la reine déchu. Quand son regard se posa sur Lewis , le brun rata un battement, bien que le petit surnom donné le dérangeait, il fit juste un sourire polie. Elle n’attendait pas de réponse de toute façon alors pourquoi se préoccuper de cela. La menace de Lilith fit mouche sur l’ancien journaliste, il savait de quoi elle était capable et que les chaînes n’était pas du tout ce qui allait la retenir bien longtemps. Il se méfiait déjà comme la peste d’Eris, alors de la mère n’en parlons pas.


Dans sa tête Lewis avait déjà décidé de la libérer, pas besoin de tenté le diable et de la laisser attacher, mais visiblement la hunter et son compagnon n’était pas de cette avis. Merde, il ne connaissait vraiment pas ce qu’elle pouvait faire en vrais. Se calmer, voila retrouver son calme pour mieux réfléchir. Aucune chaînes ne tomba quand les deux premier eurent parler. Merde cela s’annonçait assez mal. Alors qu’il était en pleine réflexion avec lui même la voix du blond s’approcha de lui, il lui aurait bien dit d’aller se faire foutre, mais l’urgence de la situation lui disait de se taire. Il le regarda aussi froidement que possible se jurant qu’il allait avoir une explication avec lui par la suite. Visiblement lui aussi voulait laisser attacher la femme. Il ne comprenait donc pas que c’était la pire des chose à faire. Le brun prit donc la parole parlant doucement.


« Peut importe le temps que cela va prendre, mais elle le fera. Si on ne l’aide pas à se détacher, elle nous tuera et dans d’atroce souffrance. Si y a bien une parole à prendre en compte c’est celle de Lilith. »


L’ancien journaliste regarda Yunaleska, elle semblait d’accord elle aussi. Ouf enfin une épaule qui le suit. Tout deux connaissaient Lilith bien mieux que les autres, voila pourquoi il savait que le moindre mal était de la libérer.


« Je ne sais pas toi blondie, mais s’il y a un risque de mort je préfère mourir sur le coup que de mourir dans d’atroce souffrance. Moi j’ai envie de croire en son mythe, croire qu’elle est capable de résisté à n’importe quel drogue. Elle les butera eux et...- il posa son regarda la jeune fillette puis regarde Aedan.- si tu le fait pas pour toi ou nous fait le pour elle et puis nous avons une connaissance commune avec Lilith et la reine se refusera de cassé le jouet de cette personne.- voyant que cela ne suffisait pas pour convaincre le blond de son sérieux, Lewis lui choppa le col et le regarda droit dans les yeux- S’il y a bien une personne importante dans la vie de Lilith, c’est la personne que nous connaissons en commun et elle ne ruinera jamais ce que cette personne à construit. »


Il relâcha le col d’Aedan, espérant qu’il allait l’écouter et qu’il allait faire le bon choix. Quand il lui demanda son briquet, le brun ne si opposa pas et lui posa dans la main. Souhaitant ainsi conclure leurs marcher. Lewis devait se remémorer tout ce qu’il avait pu entendre dire sur la femme, toute les rumeurs. Supplient son cerveau de ne pas perdre ou oublier un détail. Il attendit que le blond donne c’est réponse. Il se tendit quand la chaîne s’ouvrit. Ok cela allait être plus dur que prévu.


Quand se fut son tour le brun écouta et prit le temps de réfléchir. Il avait le souvenir de tout les bruits de ruelles, qui parlait de la reine de York Shin.


«Je ne pense pas que Lilith dévore des personnes. -Espère au fond de lui que les rumeurs disait vrais et que Lilith était bien l’horrible créature qui fait peur à toute la ville.- Donc non Lilith n’est pas coupable de Cannibalisme et pour insulte à agent, voyons personne n’insulte les agent de police donc je ne la pense pas coupable. »


Quand les chaînes se détachèrent laissant la blonde pendre par un bras et son cou, le sang de Lewis ne fit qu’un tour. Au fond de lui il espérait que c’était faux que la reine n’avait pas réellement manger des personnes. A cette pensé une remonté acide se déploya pas assez forte pour passé sa gorge, mais assez présente pour faire trembler le corps du journaliste. Tout le reste était flou dans son esprit, la discutions entre les deux compères, ce qui se passait autour de lui.



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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptySam 4 Avr - 12:51

L'arrivée de Lilith fit avoir pas mal de réactions... La mienne ne se fit pas énormément remarquée, mais Lilith me connais pas mal pour savoir que je n'en menais pas large... De plus, moi qui m'attendais a m'en prendre pleins la tronche, je m'en sortait plutôt bien. Ayant l'habitude de me faire insulter, je ne releva point sa phrase provocatrice. Lui répondre lui ferais trop plaisir... M'enfin, je compte bien la jouer au culot pour cette fois...


-Ah! Coucou ma petite maman! je te croyais morte après tout ça! Mais quand j'ai revue Éris, j'ai eu comme un doute!

Tiens, je l'ai pas appeler "Miss teigne" pour une fois, étonnant... Après tout, elle est pas si méchante que ça, elle m'a aider après tout. Je stressais à mort face a Lilith, un stress qu'elle devais surement sentir. Aedan, Lewis et moi même sommes pas mal a l’écart, parlant plus ou moins bas, le blond donna sa réponse en ce qui concerne Lilith...En demandant en même temps a Lilith si elle nous épargnera si on la libère... Puis une seule chaine tomba... Pour Lewis, deux chaines... Bon, il ne manque plus que moi, je regardais les deux gars tour à tour.

-Si je me trompe je me chargerais des chaines moi même... Et de Lilith si jamais elle ne tient pas la parole d'Aedan... Je ne compte pas la jouer solo mais si vous devez vous sauver tous, je voudrais que vous vous mobiliser tous pour la gamine...

Je parlais ensuite assez fort pour que tout le monde entendent. Parlant en mon nom pour ne pas que les autres s'en prennent a Aedan et Lewis.

-Sachez que pour ma part, je compte libérer Lilith! Je sais très bien qu'elle est capable de tous nous tuer si on ne la délivre pas... Et quand je dis TOUS, c'est même vous, les juges... Par contre, si on te délivre "maman", tiendra tu paroles que tu nous épargnera?



Je fis ensuite face aux juges pour donner mes réponses, prenant un petit peu de temps avant de répondre.

- Alors, pour le vol, je dirais non, ainsi que pour les meurtres...

Je savais pertinemment que le dernier crime est juste pour que la chaine tombe, par contre le premier... J'en ai aucune, mais alors aucune idée!
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Hanaki Fujiwara

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptySam 4 Avr - 20:06

Je n'ai rien dis quand dame Lilith m'a parlé, mais mon expression faciale peut clairement montrer que oui, je me suis perdue. Au bord des larmes, je me retiens de pleurer. Mais j'ai peur, vraiment.

"Oui pour le hacking et l'esclavagisme…"

Je dois avouer que je n'étais sûre de rien. J'ai peur, cette situation est flippante. J'ai peur que la dame meure pendue mais j'ai aussi peur de ce qu'il se raconte sur elle. Je me sens mal et la seule chose que je peux faire c'est de me cacher sous la chaise, assise, en boule. Je sais qu'elle ne me protègera pas. Je ne comprends pas. Je vis en plein cauchemar. Je ne sais pas pourquoi je suis là.

Je ne veux pas savoir ce qu'il va se passer par la suite. Je veux juste me réveiller de ce cauchemar, mais j'ai bien peur que ce soit bien réel. Pourquoi diable m'a-t-on emmené ici ? Je ne comprend rien à ce qu'ils se racontent, j'ai mal à la tête. J'ai la tête qui tourne et j'ai du mal à respirer. Je me sens mal, vraiment. La panique s'est emparée de mon corps frêle. Je me sens mal.

Que puis-je faire maintenant ? Tout ce que je veux, c'est de retrouver ma grand mère et lui faire un câlin. C'est la seule chose qui me permet de me sentir mieux. Mon coeur se serre. J'ai tellement envie de rentrer chez moi. Que l'on m'aide, que ça se finisse, s'il vous plaît. Ma place n'est pas ici.
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Lilith Azarov

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyLun 13 Avr - 16:53

Quand les juges font appel
"Tout jugement est une épitaphe."

Event



Lilith attendit patiemment le jugement de chacun. Elle sentit avec plaisir sa vieille amie venir lui tenir compagnie : la colère. Il ne s’agissait pas d’une colère noire et incontrôlable, plutôt d’un drap enveloppant doucement ses épaules pour la maintenir en vie et aux aguets. La petite menteuse la héla, l’appelant « petite maman » et évoquant l’histoire du parc d’attraction. Eris lui en avait parlé lors d’une soirée et elle connaissait les détails de cette affaire. Son regard se posa sur la jeune neko et lui adressa un sourire tendre transpirant la mauvaise foi et l’agressivité.

La première à répondre aux questions des juges fut la membre de la Brigade. Sans grande surprise, elle ne semblait pas vouloir la libérer. Comment lui en vouloir ? Elle se faisait dessus, cela se voyait à des kilomètres. L’ancienne reine poussa un soupir de frustration : pourquoi les gens se laissaient dominer par des sentiments aussi puérils que la peur ? La peur était un sentiment propre aux enfants ou aux vieillards… et elle ne servait à rien.
Le second, l’ami binoclard de sa fille, suivit le choix de la première. Pourtant, elle avait captée chez lui un sentiment différent de celui de la métisse : il avait l’air d’en vouloir vraiment aux juges. Elle ne pouvait pas lui en tenir rigueur. Ils étaient aussi misérables que des larves et bien moins intelligents. Sinon, ils ne l’auraient jamais emmené dans un de leur repère.
Elle pensait que le troisième allait rapidement emboiter le pas sur les autres. Mais non. Ils avaient l’air de vouloir mettre en place un plan d’action. Une stratégie. Lilith songea que c’était bien triste de voir l’humain dans toute sa splendeur : ne pas agir seul, réfléchir en troupeau. C’était le genre de comportement qu’elle trouvait assez risible. Ne voyant pas l’intérêt de s’intéresser à l’avis de quelqu’un d’autre que le sien. Cependant, si cela pouvait lui permettre de quitter ces chaînes, elle n’allait pas s’en plaindre.

Le petit blondinet s’approcha d’elle avec l’air d’un soldat partant au front. Un air qu’elle avait vu des centaines. Non, des milliers de fois. Elle songea que cette attitude était étrange : pourquoi les hommes avaient besoins de jouer les alphas quand ils étaient face à elle ? Pourquoi il se sentait obligé de prouver qu’il en avait dans le froc ? D’autant plus qu’elle savait pertinemment qu’il n’y avait du courage dans son regard, que parce qu’elle était attachée. Etrangement, il lui rappelait quelqu’un qu’elle avait connu, il y a longtemps. 
Il jouait avec les chaînes puis son regard gris se planta dans le sien. Il avait l’air dans une colère noire et ce regard lui arracha un sourire moqueur. Il pensait qu’il pouvait lui faire peur ? C’était un enfant. Un gamin sortant à peine de l’adolescence. Du moins, c’est ce que son attitude et son nen démontrait à la hyène. Elle le laissa tranquillement finir de jouer le coq face à elle. Elle lui laissa le plaisir de se sentir remplir d’une assurance risible, attendant le moment où elle allait exploser de rire. Moment qui arriva quand il tourna les talons et quand il répondit aux questions. Le rire qui montait dans sa gorge était presque incontrôlable. C’était un rire de moquerie, presque similaire à celui d’un enfant dominant se moquant de la petite victime de la cours de récréation. Entre deux gloussements elle cracha :

-       - Ma parole n’a aucune valeur, n’importe qui de censé le sait ! Et ce n’est pas en jouant le coq face à une femme attachée que tu vas gagner du respect mon grand.



Presque instantanément après sa phrase, son rire se calma d’un seul coup. Et son regard se posa sur celui de Lewis qui avait fait un pas en avant. Ce gosse était assez bête pour s’être lié à sa fille mais assez intelligent pour ne pas être encore mort. Lilith espérait juste qu’il allait être assez malin pour se fier aux bruits de couloir. Il donna sa réponse et quand les chaînes se détachèrent, il fut pris tremblement. Ce qui arracha un sourire satisfait à la blonde : tant mieux, il la craindrait encore plus à partir de maintenant.

Ce fut au tour de la menteuse de prendre la parole pour répondre. Elle la regarda avec un dédain assez marqué. Prête à attendre les réponses de cette gamine bien trop arrogante par rapport à sa naturelle faiblesse. Une des chaînes tomba et Lilith soupira de douleur quand elle sentit tout le poids de son corps être retenue par son cou. Elle sentait l’air qui fuyait de ses poumons, tout en sachant que cela ne lui ferait rien.
La dernière à répondre fut donc la gamine. Elle était morte de peur. Ce qui n’était pas très étonnant. Pourtant, malgré l’insignifiance de cette gamine et l’asphyxie qui tuait littéralement Lilith, elle la fixa avec grande attention. Elle ne devait pas louper le coche d’une possible mauvaise réponse. Quand la gamine commença à prononcer son premier mot, le regard de l’ancienne reine essaya de croiser celui d’Aedan et un sourire mauvais naquit sur son visage. Puis, elle se concentra de nouveau sur Hanaki.
Dès que début du petit déclic de la chaîne se fit attendre, la blonde usa de toute sa vitesse et plongea en avant. L’aiguille de la seringue frôla sa cuisse sans la toucher. Puis, dans une action invisible pour les non-maîtres de nen, elle se réceptionna rapidement et se propulsa tout droit vers Hanaki. Pourtant, elle l’esquiva, s’appuya sur le mur et replongea vers le juge se trouvant dans le coin opposé de la pièce et, utilisant sa main pour lui percer le crâne, elle l’épingla au mur comme un papillon. La vitesse de la femme rendit son action à peine visible pour les maîtres de nen et, pour les gens lambda, cela relevait de la téléportation pure.
Elle resta quelques secondes dans cette position. Respirant doucement, le visage fermé et la main perçant de part en part la tête du type. Puis, elle se retira et avança rapidement vers les autres prisonniers. Elle secoua d’un coup sec sa main vers Aedan sans lui lancer un regard, déposant sur lui des restes de cervelle et de sang. Enfin, elle haussa la voix, s’adressant aux juges en usant sérieusement d’une autorité acquise par les années :

    - Maintenant que nous sommes enfin face à face, sortez de votre planque que je vous étripe un par un !



Son regard se posa sur les gens lui servant de compagnon d’infortune et un sourire mauvais naquit sur son visage :

      - Je crois que nous avons tous envie de vous dire un petit mot. 
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyJeu 16 Avr - 11:26



Quand les juges font appel


 Le juge en blanc regardait les gens répondre un à un. Ils ne comprenaient pas l’utilité de la chose… Ils ne comprendraient certainement jamais… Pris dans leurs tourbillons de vie, ils ne pouvaient plus voir ce qui se présentait nu devant eux.


La peur de mourir, de faire mourir d’autre, les menaces, les moqueries… tout ceci avait un sens et bon sang… L’homme en blanc serra sa mâchoire… ils ne comprenaient rien de tout ceci… Les chaînes se détachaient une à une, dévoila les crimes et non crimes de la reine déchue de York Shin. Alors qu’il ne restait que deux chaînes … la plus âgé des juges présentent soupira puis se leva prenant la porte par laquelle elle était arriver et partit comme-ci rien ne se passait.


Presque par instinct, l’un des deux hommes se leva quand la fillette se mit à parler, il savait quoi faire, il ne restait qu’une chaîne qui pendait littéralement la blonde dans les airs, mais à peine la réponse avait été donné que Lilith était déjà partie. Le roux emboîta le pas, trop lent pour dépassé la blonde, mais assez rapide pour masqué le massacre de la vue d’Hanaki et pour déployer son nen, telle une bulle protectrice, impénétrable et insonore. Il avait prit la fillette contre lui et l’avait placer dos à la mort. Nico allait devoir la faire sortir d’ici, sans qu’elle ne puisse voir l’horreur en ses lieux. Il la regarda à travers son masque.



« On va partir maintenant d’accord, je te ramene chez toi. »


Le juge en blanc s’écroula sur le sol, sans vie, il n’avait même pas vu sa mort arriver. Son costume se macula de rouge, son masque brisé tout comme son visage et son crane. La pièce roula sur le sol avant de tomber sur une de ses faces ou l’on pouvait voir un œil.


Le dernier juge quand à lui, regarda la scène sans bouger, dans une position décontracté, comme-ci la blonde n’était en aucun cas un danger pour lui. Les jambes croisés, il regarda son dernier compagnon présent.



« Et bien nous avons notre réponse sur certain d’entre vous. »


Il se leva de son siège, avançant doucement en dehors de la salle vitré, regardant sa montre à gousset et appuya sur le haut, après quelques seconde et un déclic, un bout du mur se délogea offrant une sortit que le roux prit sans la moindre hésitation avec Hanaki, son nen toujours déployer.


«  Je vous ouvre la porte, merci d’avoir participé et je vous conseil de sortir rapidement, notre ami ici mort avait déterminé que si il mourrait nous mourions tous. Une dizaine de secondes pour sortir. »


Il sourit derrière son masque restant sur place le temps de voir tout le monde sortir de la pièce.


Une fois à l’extérieur, Nico portant toujours son masque retira son enveloppe de nen, mais resta assez près de la jeune fille pour la protéger en cas d’attaque.  



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Griselda DeWynfell
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyMer 20 Mai - 17:46

Quand les juges font appel


Griselda écoutait d’une oreille distante les autres personnes parler. Pas qu’elle se moquait de ce qu’il disait, loin de là. Mais elle se sentait partir… Comme-ci, pour se protéger, son esprit avait décidé de se cacher au fond de son crâne. Cela lui rappela un souvenir particulièrement mauvais qu’elle tâcha de faire disparaître. Sans grand succès. Une odeur âcre de sueur lui monta au nez et la vision d’un corps tomba sur le sol s’imprima dans sa rétine.




Ces souvenirs plus précis que des vidéos auraient pu la faire disparaître pour de bon de son propre corps mais un sentiment de danger très pressant réveilla ses sens. Inconsciemment, elle avait compté le nombre de chaîne qui se décrochaient… Et elle entendit le petit bruit de la dernière qui cédait.
Un peu trop tard. Elle arriva à peine à voir le mouvement de Lilith quand cette dernière se rua sur l’adolescente. Le cœur de la hunter rata un battement et elle s’élança. Lançant une vague de nen sur la trajectoire de la blonde. Elle rata sa cible juste à temps pour voir l’ex reine dévier et se jeter sur le juge.

L’image se grava dans les souvenirs de la brune… à son grand malheur. Elle sentit son cœur aller aux bords de ses lèvres devant la scène. Ses yeux se posèrent sur Hanaki qui, heureusement, avait les yeux masqués grâce à un juge. Elle garda son regard fixé sur l’homme qui « protégeait » Hanaki. Elle n’avait pas confiance, mais devait bien reconnaître qu’il avait eu une bonne réaction.
La Lost-hunter lança un regard noir à Lilith quand cette dernière se plaça près d’eux pour parler… Pour parler en leurs noms en plus. Un rictus mauvais naquit sur son visage, elle était à deux doigts de lancer une remarque acerbes à la blonde. Mais la parole du juge l’attira beaucoup plus.
Quand il parla du temps pour sortir, le sang de Griselda ne fit qu’un tour. Sans réfléchir, elle haussa la voix :


-Si jamais vous n’avez pas le temps de sortir, je peux vous faire accélérez le pas grâce à une poussée de vent. Mais vous devez me donner un coup sur l’épaule en passant… ça évitera des… désagréments.

Sans réfléchir plus que cela, elle se plaça à côté de la sortie, l’épaule en avant, attendant que ses compagnons passent tous pour fermer la marche.
 

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Naku Owiga

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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyJeu 2 Juil - 2:42

Les choses se passèrent très rapidement, après une rapide concertation des personnes sur le banc des accusés, il semble y a avoir consensus pour libérer la bête. J’ai à peine le temps de me rapprocher de la jeune fille qui a été désignée juge tout comme moi, dans l’espoir que je sais vain de la protéger quand ça dégénérera…
Un souffle me sort du nez, nerveusement mais aussi à cause de l’ironie… Ce que ces juges m’avaient reproché, la façon dont ils avaient détourné ma mise en garde à Rose… « Le jour où tout ceci dégénèrera… Et je suis sûr que ça arrivera tôt ou tard »… J’ai rarement autant détesté avoir raison, mais bon… Comme si ça pouvait finir autrement quand on réunit un groupe de personnes incroyablement plus puissantes qu’intelligentes.
 
Puis tout s’emballe quand la dernière chaîne se libère, la femme a comme disparu tant elle est vive… Mon métabolisme est sur le point d’exploser face à toute l’adrénaline libéré pas la peur imminente de mourir… Mais au font de mon, très enfouit, à la limite même de l’inconscient, un grisement à l’idée de voir ces personnes que j’exècre mourir.
 
La vampire réapparaît avec sa main dans le crâne de l’un des juges, le sang et la cervelle répandu me donne envie de vomir, mais je fais tout ce que je peux pour me contenir et bloquer la vue d’Hanaki pour que l’image de ce bain de sang ne la hante pas pour les années à venir. Le bourdonnement de mon sang résonne si fort que tout ce que j’entends autour de moi, c’est un sifflement sourd comme après une explosion. Une porte s’ouvre dans le mur et les autres juges commencent à sortir alors que les accusés suivent. Désorienté et une fois la petite partie, je me rends machinalement vers Gris et la frappe à l’épaule en voyant les autres faire même avant de rejoindre la sortie.
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyVen 3 Juil - 3:46

Elle était navrante de débilité, cette reine que tout le monde craignait. La reine des connes plus qu’autre chose.
Son cerveau l’avait lâché quand le craquement du crâne avait rempli la salle. Il connaissait cette sensation. Beaucoup trop. S’il avait pu ressentir quelque chose, il l’aurait décrite comme rassurante. Familière. Enveloppante. Une demi-conscience. 
Regardant de l’autre côté de la baie vitrée, il vit la silhouette de “Nico” recroquevillée autour de la gamine. Finalement il y avait peut-être un brin d’humanité ici. Il garda le regard rivé sur eux pour ignorer le cadavre au sol, sursautant à peine en sentant des gouttes chaudes s’écraser sur son torse. Il n’avait pas besoin de regarder pour comprendre d’où ces gamineries, et ses yeux captaient facilement le mouvement de balancier d’une main à la lisière de son regard.  

Son torse s'affaissa dans un soupire ennuyé aux paroles de Lilith. Elle allait réussir à faire baisser le Q.I de toute la pièce à ce rythme.  Son intervention était si utile et impressionnante  que le  juge n’y réagit et répondit même pas. Il se contenta de quelques manipulations sur une montre à gousset et de quelques mots qui eurent leurs effets sur l’assemblée.

La dernière phrase du juge et le cri de Wynfell le firent réagir d’un coup. Il empoigna la fille-animale par le dos de son vêtement et la tira contre lui, la décollant du sol dans le mouvement. Son bras passa autour de sa taille et la maintint fermement contre lui, alors que de l’autre bras, plaquant sa main au bas du dos de Lewis pour ne pas le déséquilibrer, il le poussait en avant. Il n’allait pas s’amuser à plus: le barman ne lui semblait pas assez bête pour chercher le conflit dans une situation pareils, mais il y avait tant d’abrutis au mètre carré, lui comprit, qu’il n’allait pas titiller le destin. 
Il passa la porte, un compte à rebour dans sa tête arrivé à 6 secondes, et freinant comme il pu sur ses talons pour ne rentrer dans personne. Le poid mal repartie de sa passagère occasionnelle faillit le faire partir en avant, mais il se rattrapa d’une main au mur, et la déposa doucement au sol, lui soufflant à un peine un “désolé” avant de se redresser pour observer l’environnement de la suite de tout ce merdier. 

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Lewis Freeman
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyJeu 16 Juil - 17:53


Retour des juges




Là... c’était peu être un peu de trop pour l’état mental de l’ancien journaliste. Le sang, son odeur… Il n’avait rien comprit, ni du mouvement, ni même de ce qui était dit autour du lui. C’était comme-ci il était devenu sourd et muet, son regard fixait le corps sur le sol… des flashs de l’accident qu’il avait eut lui revient en bloque. Les corps… Mutilé … brûler… L’odeur lui vient de la chair carbonisé… tout son corps crispé … tout semblait flou mise à part le mort et le sang qui s’échappait de lui… Tout semblait être figer autour de lui… il n’avait même pas vu les gens partir… Sa tête se remplis de toute les atrocités qu’il avait vécue ou non, il ne savait plus . Les cris … les sons stridents ... le bruit des sirènes… l’odeur de la mort… du sang… son goût… La boule dans sa gorge grossissait plus les images défilait.


La terreur perdit de son intensité quand il sentit la main se posé au creux de son dos pour le faire avancer, il sentit son corps être pousser en avant alors qu’il sortait de sa peur et mécaniquement il marcha puis pousser par le mouvement se mit à courir, ne cherchant pas à comprendre ce qui se passait. Sortir loin de tout ça rentrer chez lui. Se saouler à en vomir les images et oublier tout oublier.

En sortant de l’enfer, l’adrénaline passé, le brun s’éloigna pour vomir ce qu’il avait retenu depuis tout ce temps. Voir en image les morts et les voir en vrais était deux choses bien différentes … mais quand on voyait en plus un meurtre c’était un peu trop pour lui … beaucoup trop… Toute ses choses revenait en masse dans sa tête alors qu’il avait prit soin de tout enfermer dans des malles. Il devait se calmer pour ne pas perdre plus la face… Mais cette fois c’était plus dur que prévu bien plus dur. Il cracha le goût de la biles au sol se tenant à un mur essayant de respirer au mieux.



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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyMer 29 Juil - 20:23

- Je vous ouvre la porte, merci d’avoir participé et je vous conseil de sortir rapidement, notre ami ici mort avait déterminé que si il mourrait nous mourions tous. Une dizaine de secondes pour sortir.

Tous se passa si vite suite aux paroles du juge... Alors que je rassemblais mes esprits, la fille métissée passa devant nous pour emboiter le pas, quasiment tout le monde suivit le mouvement, j'attendais pour fermer la marche, demandant a tout le monde de passer... Depuis que ces juges sont là, je frôle la mort tout le temps, à croire que j'en ai plus pour très longtemps. Le blondinet semble me faire signe de passer avant lui, ce que je fis... Pas le temps de débattre ou de faire dans la galanterie... Il doit rester à peine quelques secondes avant que tout ne s’effondre.

- Si jamais vous n’avez pas le temps de sortir, je peux vous faire accélérez le pas grâce à une poussée de vent. Mais vous devez me donner un coup sur l’épaule en passant… ça évitera des… désagréments.

C'est Griselda qui a dit ça... J'allais lui taper légèrement l'épaule mais avant que je ne le fasse, je me sentis transporter...! C’était Aedan qui semblait vouloir se grouiller de sortir d'ici... Je le comprends d'ailleurs. Une fois dehors, Lewis partit dans un coin. Surement pour vomir à cause de la pression subit a l’intérieur et aux meurtres qu'il y a eu. Je plaints les civils normaux... Ceux qui n'ont pas vécus dans cet enfer qui sont les meurtres, enlèvement, tortures mentales... Ils ne sont clairement pas prêt à subir cela d'un seul coup... Quoi qu'il en soit, c'est fini, et j’espère que c'est fini...
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptySam 28 Nov - 22:13

D'une voix tremblante, Hanaki demande : "Dites… Et les autres personnes, il ne va rien leur arriver ?" La jeune Hanaki n'a rien compris à la situation. Tout ce qu'elle sait, c'est que la belle femme blonde a dû souffrir alors qu'elle était enchaînée, et d'une manière dont l'enfant ne comprend pas, cette femme s'est téléportée. Hanaki n'a rien pu voir. L'homme masqué a protégé la petite fille. Des larmes coulent sur ses joues, la peur l'a envahi et elle reste près de son sauveur. "Je veux rentrer chez moi." pense-t-elle. Elle regarde là où il y a du bruit.

Un soulagement pour elle, ils arrivent ! Elle observe bien, et a de la peine pour un homme brun qui vomi dans un coin. Hana imagine qu'il doit être traumatisé de ce qu'il a pu voir. Mais elle n'ose pas s'approcher pour le soutenir, ayant un peu peur de sa réaction. Les larmes aux yeux, la demoiselle voit tout le monde sortir, se demandant comment elle va rentrer chez elle et comment raconter la situation à ses professeurs et à sa grand-mère. Ne sachant pas pourquoi, la jeune fille voit flou. Elle tangue un peu et tombe peu à peu dans l'inconscience. Cette journée a été si stressante pour la demoiselle qu'elle n'a pas supporté cela. Elle respire encore, fort heureusement. Elle peut encore être transportée dans un hôpital. Elle a toujours vécu une vie normale, sans problème de ce genre là. Il lui reste énormément de chose à apprendre sur la vie des personnes utilisatrices de nen.

Il était une fois, une jeune adolescente toute sage, innocente, totalement inoffensive, qui perd peu à peu sa naïveté. Perdue au milieu d'évènement ne la concernant pas, elle ne sait pas quel chemin prendre. Comment diable peut-elle réussir à se remettre les idées en place ? Quelles décisions prendra-t-elle pour choisir son avenir après cela ? Ce qu'on espère est qu'elle ira bien quand elle sera rentrée chez elle auprès de sa grand-mère. Continuera-t-elle sa carrière de judoka jusqu'à devenir une championne ou changera-t-elle de voie ? Seul l'avenir nous dira cela.
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MessageSujet: Re: Quand les juges font appel Quand les juges font appel  - Page 2 EmptyDim 13 Déc - 21:52

pop11.jpg
Quand les juges font appel

  Nico était rester auprès de la jeune fille, il voit ses larmes, pauvre enfant, oui elle allait pouvoir rentrer chez elle, malheureusement il était bien incapable de lui faire oublier tout ce qui venait de se passé. Il la rassura en lui parlant, mais il douta un peu plus que sa parole ne l’atteigne réellement, car la demoiselle sombra bien vite. Il allait devoir la porter jusqu’à l’hôpital pour qu’elle puisse être prise en charge. Il la porta près à partir avec elle. « Vous devriez partir assez vite, on ne sait jamais ce qui peut arriver et personne n’est à l’abri. » Sans rien demander, il s’éloigna avec la jeune fille, pour l’emmener au plus vite en sécurité. Il avait retiré son masque et entra précipitamment dans l’hôpital. Il expliquait qu’il avait retrouvé la jeune fille évanouie et qu’il l’avait tout de suite amené ici. On lui demande son prénom pour enregistrer une sorte de déposition. Puis il disparu sans attendre la suite, pas besoin d’intervenir plus dans la vie de la jeune femme.




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Rien ne se passe normalement ici bas … Alors qu’une personne marche dans les couloirs alors bondé de l’hôpital on entend comme des grincements. Mais personne ne semble voir, n’y même entendre l’être qui erre ici bas. Il cherche une chambre, une chambre bien particulière. s'arrêtant devant la chambre 7 un sourire s’accroche à son visage avant d’entrer sur les lieux. Tout semble calme et la jeune fille n’a pas repris conscience. Voilà un don du ciel.


La personne marche doucement, parlant dans un chuchotement plus proche du souffle que de la voix. Ses mains tiennent un morceau de papier qu’elle plie en 7 avant de le déposer au creux de la main de la fillette, puis voilà que la créature repart sur la pointe des pieds et disparaît au détour d’un couloir… comme un esprit venu du passé.



Pour Hanaki:


----------------------------



Sur les lieux de sortie après le jugement et la disparition de Nico.


C’était d’un royal silence, il n’y a plus un bruit sur les lieux qui semble avoir perdu sa capacité à recevoir de la population. C’est sinistre après les événements récents. Plus un juge dans les parages… et la sortie venant s’écrouler. Devant vous juste une sorte de colline avec un chemin, là où était partit le juge avec la jeune Hanaki. Derrière un sentier de pierre menant à une petite forêt. Tout était fini ou presque en vérité, car en y regardant de plus près quatre ombres semble arriver dans votre direction. Une Massive, grande, le visage blanc maquiller, l’air neutre, au cheveux de jaie. Le second un blondinet d’une trentaine d'années, la bouche couverte, les yeux bleus comme les abysses plus petits que la première. La troiseme dénote avec le reste, la femme est rose, des cheveux à la peau, des habits d’un blanc éclatant et des lunettes de soleil violette et la derniere une femme au cheveux frisés ondulant dans la brise, dont l’aura de nen était déjà en action et reflettait une puissance peu courante dans le commun.


Ils s’approchent tous les quatre et la voix de la plus grande se fait entendre. Une voix grave que l'on sait habituer au travail.


« Griselda Maria Adelaide De Winfeld, au nom du règlement article 42 section 12 alinéa 17, je vous demande de nous suivre sans histoire. Nous avons des preuves nous prouvant que vos agissements sont liés à ceux du Riddler. Nous vous demandons de nous suivre sans faire d’histoire, nous allons vous emmener à la maison des lys afin de régulariser cela. Ne pensez pas que nous vous demandons cela sans lien fondé. Nous apportons un dossier d’une trentaine de faits qui prouvent vos dessins. »


La femme à la peau rose s’approche du groupe, bullant de son chewing-gum et tendit le dossier à Griselda. Photos, messages, heure d’activité, heure de non activité. Adresse IP, séquençage, voix restituer, empreintes. Un dossier complet qui montre que Griselda est bien plus qu’une Hunter, mais qu’elle aurait une toute autre identité que le monde connaît sans vouloir véritablement la connaître. Le Riddler.


Les Quatre Hunter regardent Griselda, espèrent que celle-ci ne fasse aucune histoire et les suivent. Mais, ils étaient tous près à utiliser la force s’il le fallait pour amener la criminalité. La femme au cheveux frisé regarda le reste des gens présent ici. «  Vous pouvez partir si cela ne vous concerne pas. » Elle sourit amicalement et de façon étrangement douce comparer à l’aura qui lui tournait autour. « Nous ne sommes là que pour Mademoiselle De Winfeld, mais nous n'accepterons aucune intervention violente de votre part. Nous pouvons communiquer de façon raisonnée. »


Pour Griselda:



Il semblerait que tout le monde ne dit pas que la vérité 


codage par Laxy Dunbar.
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