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 A la guerre comme à la mer

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Lewis Freeman
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MessageSujet: Re: A la guerre comme à la mer A la guerre comme à la mer - Page 2 EmptyVen 28 Déc - 13:25

 
A la guerre comme à la mer

 Le « je » à peine hésitant fit sourire intérieurement le brun, le trouble du hunter était déroutant, mais était toujours une information en plus pour le journaliste qui notait dans son esprit que cette bête furieuse était aussi imperturbable par il ne savait quoi mais l’était.


Lewis allait partir quand il entendit le son de la voix du hunter.  Ses phrases étaient simple et réaliste le brun hocha la tête en guise de réponse.

Le craquement des épaules lui fit légèrement tourner la tête alors qu’ils descendaient tout deux les marches dans un silence, coupant ses pensées tournées sur un plan basique pour aller chercher son paquet de clope et comment il allait de nouveau s’enfermer dans cet appartement miteux pour faire ses valises plus vite que prévue histoire de rentrer à York Shin ou il trouverait un nouveau quotidien sans travail jusqu’à avoir la réponse du chasseur de tête par message.

Quand il lui dit qu’il penserait aux arbres d’une certaine manière Lewis se dit qu’il n’allait pas jeter se numéro. Il n’était pas forcement soulager, mais il était sûr de le revoir et de pouvoir qui sait puiser des informations auprès du jeune homme, bien qu’il allait devoir d’abord faire naître la confiance. De plus cela lui permettrait de sortir un peu de son environnement sombre.  Le journaliste posa son regard de glace sur le blond qui restait là, comme-ci qu’il était tellement imposant que ne pouvait pas passer à côté de lui, cette pensé le fit sourire un peu et la suite aussi, le hunter semblait plus familier à des rencontres qu’il ne le laissait pensé pour qu’une collègue de travail aille déjà les idées claires sur lui. Alors qu’il ne semblait pas enclin à descendre, Lewis allait reprendre la marche qu’il entendit un « on y va ? » Qui le fit s’arrêter dans son action un court instant, il reprit très vite son idée d’acheter des cigarettes en mains et ouvrit la porte qui les mèneraient vers la sortit.  

Alors qu’il entra dans le hall du bâtiment son regard croisa celui d’une jeune femme. Un regard brun, tout comme ses cheveux et sa peau, une sympathique et agréable vision, qu’il n’avait pas vu entré dans le bâtiment des jours plus tôt. Investit d’une mission de la plus haute importance, il salua d’un signe de la tête et d’un sourire avant de continuer sa route vers la sortie quelque peu pressée par l’envie de fumer. Il devait se prendre des clopes et n’avait pas prit conscience que la femme qu’il venait de croisé était celle qui venait chercher le blond.  Il se retourna alors qu’il ouvrait la porte de la sortit se collant un peu à l’ouverture, puissant dans son mentale pour combattre l’envie de fumer omniprésente dans son esprit. Il tourna sa tête vers Aedan pour lui parler.

« Voila la sortit, ne retombe pas dans les vapes, je serais pas toujours là pour te sauver de la cohue de curieux, près à te dévorer. »
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MessageSujet: Re: A la guerre comme à la mer A la guerre comme à la mer - Page 2 EmptySam 12 Jan - 9:52



La femme craqua méticuleusement ses deux poings, dardant sur l'hôtel son regard d'or sombre. Elle allait ramener Aedan au bercail par la peau des fesses, et le laisser à la merci de la tornade qu'était Inna. Il ne pouvait pas fuir ses responsabilités comme cela. Et il n'avait pas le droit de lui causer autant de soucis après leurs années d’amitié. Le Hunter connaissait parfaitement son penchant pour l’inquiétude et sa tendance à materner volontairement où non les hommes autours d’elle. C'est-à-dire beaucoup de monde aux vues de son métier.

Nelly ouvrit la portière, se glissant hors de la voiture et la refermant dans son élan, les sourcils froncés par la contrariété. Elle passa les portes automatiques d’un pas énergique, ses mains dans les poches de son blouson du même vert sombre que celui d’Aedan. Son regard lumineux scalpa le hall monotone presque désert, attrapant rapidement à l’autre bout du corridor la silhouette massive du Hunter, accompagné d’une autre à peine plus petite. La femme fronça les sourcils en voyant l’inconnu lui adresser un hochement de tête polis auquel elle refusa cordialement de répondre.
Elle s’avança rapidement vers eux, ses cheveux crépus et hasardeusement attachés en chignons encore légèrement humide de sa baignade improvisée formant une brume brune autour de son visage, s’accrochant parfois à la peau basanée de ses joues ou de sa gorge.

***

Aedan frissonna en sentant un courant d’air s’écraser contre le tissu plus léger de son T-shirt et repousser quelques mèches de son front. Il referma son blouson en vitesse, serrant et desserrant rapidement ses poings glacés que ses sens militaires trop en éveil ne lui permettaient pas de ranger dans ses poches. La conscience, virant à la paranoïa, d’une attaque possible pulsait dans un coin de son cerveau, envoyant ses yeux balayer la rue dans tous les sens avant de se reposer sur la nuque du journaliste devant lui. Scénario improbable : même si une voiture avait surgit d’un angle, même si la fenêtre passager s’était ouverte sur une mitraillette vomissant des slaves de balles, il n’aurait rien pu faire. Le froid recommençait à refermer dans son étau rigide ses membres noueux. L’effet était moins violent qu’il y avait quelques heures. Mais suffisant pour l’engourdir. Et les séquelles émotionnels que venaient de lui infligeait Lewis étaient lourdes à encaisser, assez pour ralentir ses réflexes. Ce qui était loin d’être professionnel. Une fois encore il haïssait cette facilité avec laquelle certaines personnes passaient toutes ses barrières. Vu les handicaps de son nen, il aurait du partir se terrer dans un pays chaud depuis longtemps. Manque de chance, Aedan n’était pas passif dans son travail, ll y refusait la fuite. Et il n’était pas sûr qu’à l’époque, sa sœur l’aurait suivit.

Le Hunter tourna la tête vers Lewis, s’intimant de stopper net toute animosité dans ses iris nuageux ou les muscles de son visage.  Partir sur un tel échec humain risquait d’être bien trop douloureux. Pas maintenant qu’un semblant de conversation –presque pacifiste- paraissait s’être fait. Il tenta l’esquisse d’un sourire sur ses lèvres charnues, relevant inégalement ses commissures en sourire en coin désolé, qu’il laissa fondre en lançant son regard sur le côté. La tristesse et la lassitude étaient bien trop présentes dans ses yeux de cendre pour qu’une quelconque mimique de sympathie trouve sens entre eux. Même si ne pas réussir à communiquer avec le journaliste le frustrait, il avait conscience que son statut de Hunter lui enlevait d’embler toutes sincérité aux yeux de son interlocuteur.  Tous comme lui n’irait jamais prendre le risque de trop en confier à Lewis. En somme, on est au point mort.

« Je prend note. »

Souffla-t-il avec un faible sourire. Le Hunter observa quelques secondes le journaliste, penchant légèrement la tête sur le côté dans un  court geste saccadé rappelant ceux des oiseaux de nuit. Ses iris gris disséquèrent rapidement son visage, glissant sur les pommettes anguleuses et les lèvres fines, remontant sur le nez tout juste trop droit pour être aquilin, et faisant face, affrontant le regard de cuivre et d’hydroxyde de Lewis. Il mémorisait le visage du journaliste dans les détailles, sans certitude que cela lui servirait un jour, mais préférant prévenir que guérir. Son trouble revient, provoquant quelques battements de paupières comme une mise au point et une prise de distance. Il arrivait à garder la tête froide, et à refouler dans un coin de sa tête sa confusion. Pour mieux l’analysait, et se sentir presque rassuré en constatant que -parfois- son cerveau militaire n’arrivait pas à prendre le dessus. Lewis lui plaisait, c’était indéniable. Les remarques grinçantes de Nelly ne seront pour une fois pas infondées, même s’il se passera bien de lui dire. Mais il tendait dangereusement entre deux extrémités avec le journaliste, ne sachant plus s’il voulait le saisir pour se protéger, ou autre chose un brin plus salace à ses yeux.
Aedan se détacha de ce marasme de pensée pour tendre une main aux doigts déjà refroidis et glacés vers l’homme, pinçant ses lèvres.

« J-… Les remerciements étaient sincères. Tout à l’heure. »

Dit-il en continuant de fixer le journaliste dans les yeux, étonné lui-même de l’audace qui le prenait, de l’aplomb qui lui revenait. Son regard était franc, brut, sans polissage ni politesse. Lewis pensait qu’il jouait un double jeu, Aedan allait se charger de le confondre. Il ne fréquentait généralement pas ceux de sa profession. L’examen Hunter lui avait suffit pour dresser un portrait rapide du type de profil qu’il risquait de croiser à répétition. Il regrettait de ne pas avoir eu à l’époque autant d’expérience qu’aujourd’hui –même si on pouvait se demander s’il n’avait pas régressé sur certains points. Mais certains sombres personnages restaient bien encrés dans sa mémoire. Peut-être que le journaliste avait raison. Les Hunter jouaient à pile ou face. Mais dans ce cas, il espérait que sa licence, bien à l’abri dans un coffre, n’était qu’une usurpation. Comme l’avaient hurlés les spectateurs de la repêche macabre des cadavres.

« -Hep ! »

Aedan se retourna d’un bloc, posant sur la silhouette sculptée de Nelly ses yeux écarquillés. Les mots restaient bloqués à ses lèvres, ne lâchant qu'une infime petite onomatopée de « qu- » avant qu'il ne se reprenne. Il maugréa intérieurement devant sa perte de notion du temps s'égrenant, quelque chose de pourtant essentiels dans le déminage d'une bombe.

Nelly jaugea un instant le journaliste de ses yeux couleur thé, haussant un sourcil avant de le contourner habillement sans un mot. Elle s’approcha d’Aedan, posant une main sur son épaule avec un regard de reproche.

« Donc si je comprends bien, pendant que nous on trimait, toi tu t’envoyais en l’air ? »

Le Hunter tourna violemment la tête vers elle, ses yeux aux paupières épaisses s’écarquillant sur ses iris gris.  Restant muet quelques secondes, il finit par lâcher d’une voix essoufflée :

« Quoi ? »

Sa collègue retint un ricanement, englobant le hall d’un mouvement de main.

« Bah excuse-moi, mais… Toi. Avec un homme. Dans une chambre d’hôtel. Ca peut prêter à confusion quand même ! »

Elle lança un regard à Lewis par-dessus son épaule, une œillade pleine de méfiance aux reflets dorés. Le père de Nelly était psychiatre, et lui avait appris quelques trucs pour cerner rapidement le premier venu. Elle en avait tiré un talent indéniable pour sentir les emmerdes arriver. Et le journaliste empestait les problèmes, quelque soit leur nature. En plus de la clope.

« Par compte je savais pas que t’étais devenu nécrophile. »

Aedan sentie la colère l'étouffer, remontant en vague de son torse à sa tête, voyageant dans ses artères carotidiennes. Il entendait son cœur battre à ses tempes, sentait son sang pulser dans ses veines. Il était coutumier des boutades aux relents plus ou moins homophobes de Nelly, et en avait dégusté des plus virulentes. Mais celle-là le dérangeait. Parce qu'elle était vraie.  Son bras entoura les épaules de la femme, un étau la rappelant fermement et tacitement à l'ordre. Nelly lança un regard de biais, s'heurtant aux iris menaçantes du Hunter, couvertes par l'ombre de ses paupière accentuée par son froncement de sourcils.

« Au revoir Lewis. »

Lâcha-t-il d'une voix sèche, sans détacher ses yeux de sa co-équipière. Ses muscles masseter saillaient sur sa mâchoire, des témoins passifs de sa colère, tordus à la guise de cette dernière, immense à l'instant. Il poussa Nelly un peu devant lui, fronçant les sourcils en la sentant un instant résister et traîner des pieds. Elle passa à côté du journaliste sans un regard, fronçant simplement les sourcils , accentuant sa mine toujours boudeuse en sentant un peu trop de proximité entre le genre de type qu'elle méprisait et elle.  Son pas s'accéléra crescendo jusqu'à la voir, sans un regard pour Aedan resté immobile quelques secondes devant Lewis. Il dévisagea une dernière fois le journaliste, avant d'éviter d'un coup son regard, marmonnant un autre « au revoir » en le dépassant.

***

Nelly se laissant tomber sur son siège avec un soupire. A l’instant, elle maudissait Aedan, Hans, Inna, et à peu près la moitié de Central Security , plus un certain clopeur aux airs cadavériques pour la vie de chien qu’ils lui menaient. L’agente tourna la tête vers son collègue, haussant un de  ses épais sourcils brun en le voyant, son blouson entre les mains, palpant l’épaisseur du tissu.

« Qu’est ce que tu fais ?
-Je vérifie qu’il m’a pas collé un mouchard. »


Les épaules de la femme tressautèrent, amusées.

« T’es parano, à un point…
-Attend d’avoir passé une heure avec lui…
- Aedan. Y’a que toi qui te met à flipper devant les culs qui te plaisent. Vraiment que toi. »


Le Hunter lui lança un regard outré, finissant par jeter sur la banquette arrière son blouson, après avoir pris quelque chose dans une poche.

« Tient, il n’y a rien dedans ? Que je suis surprise ! Et c’est quoi ça ? »

Demanda-t-elle en montrant d’un signe de menton le papier qu’Aedan s’évertuait à garder entre ses doigts, sa nervosité latente commençant à le maltraiter. Il baissa la tête, soupirant en reconnaissant le numéro du journaliste, un paquet d’emmerde à la clé. Et aussi, peut-être, une nouvelle pièce sur le plateau. Aedan aimait filer cette métaphore. Et si, sur l’échiquier les Hunter étaient souvent des dames –n’en déplaisent aux vieux fossiles machos- s’émancipant des lois, il voyait Lewis comme… Un cavalier. Une pièce dont il devait toujours se méfier, et garder à l’esprit : Plus mobile qu’un simple pion, moins que lui, mais s’il l’oubliait, l’étourderie pouvait rapidement lui devenir fatal.

« Un moyen de le recontacter. »

Nelly explosa de rire, se penchant sur le volant pour y appuyant son front sous le regard courroucé du Hunter.

« Nan mais dit-le Aedan, c’est son numéro ! Putain, mec tu prends son tel, mais tu flippes pour un supposé mouchard !
-Parce qu’au moins comme ça je peux gérer ce que je veux lui dire ou non ! »


Marmonna-t-il en croisant les bras, s’enfonçant dans son siège d’un air renfrogné. Nelly releva la tête, ses yeux larmoyants de rire le fixant d’un coup terriblement sérieusement.

« Parce que t’as réellement l’intention de l’appeler ? Soit tu déconnes sérieusement, soit…. Soit t’as un plan en tête. »

Aedan tendit la main pour mettre le chauffage de la voiture au maximum, et appuya son front contre la vitre trop froide à son goût. Ses paupières descendirent sur ses yeux sans qu’il y réfléchisse.

« Peut-être que oui. »

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MessageSujet: Re: A la guerre comme à la mer A la guerre comme à la mer - Page 2 EmptySam 12 Jan - 13:37

 
A la guerre comme à la mer

 Le sourire qui tentait de naître sur le visage du hunter s’évapora bien vite en une mine triste que le journaliste aurait bien pointé du doigt ou du moins aurait chercher à se rapprocher, mais vu qu’il ne semblait pas prompte à se genre de jeu, le brun laissa de côté cette envie. Lui par contre lui fit un sourire en coin, qui disparu à son tour quand il sentit le regard scanneur d’Aedan sur lui. Lewis attendit un moment comme attendant une phrase, même un simple mot pour expliquer pourquoi il l’observait comme ça. Que cherchait il de son regard et qui semblait presque évité le sien se perdant sur lui. Le mouvement du blond fit baisser les yeux de l’ancien journaliste qui regarda la main tendue vers lui il l’observa un moment avant de le regarder lui et de lui serrer la main. La phrase qui suivit fit sourire légèrement.


Sincère vraiment, il avait plus l’impression que le blond cherchait quelque chose lui aussi, peut être tout autant que lui. Le regard dans le sien semblait convainquant, mais il était si facile de mentir et de transformer les mouvements, le regard pour faire dire tout le contraire. Le journaliste ne lâcha qu’un très bien et relâcha la main.

Quand la jeune femme qui passa à coté de lui ne répondit pas à son salut, le brun se tourna vers elle un sourcil arqué et rictus aux lèvres. Décidément la politesse n’était pas son fort, mais bon le brun ne s’en formalisa pas, il avait d’autre chose à penser. Il regarda cependant quand elle s’arrêta devant Aedan et lui parla. Alors c’était elle qui venait le chercher… étrangement cela ne le choquait pas qu’elle soit hunter vue son comportement. Il se posa dans l’encadrement de la porte les bras croisés quand il entendit la jeune femme parler de s’envoyer en l’air et le visage choqué du hunter cela fit sourire le brun. Quand elle le regarda, il posa son regard dans le sien avec défi et un sourire en coin.  La phrase qui suivit ne le perturba pas plus que cela, elle était plutôt faiblarde en réplique qui se voulait mauvaise et tranchante.  La réaction de son collègue fut assez rapide, il chopa la jeune femme en l’emmenant avec lui, passant devant le brun. Quand il lui dit au revoir l’ancien journaliste lui sourit et hocha la tête amuser de la situation.  Lorsque le blond se posa devant lui un court moment, d’ailleurs Lewis profita de se moment pour à peine toucher la main du hunter du bout des doigts.
« Salut »

Il les regarda s’éloigné et dès qu’ils furent assez loin, le brun perdit son sourire, comme toute sympathie de son visage, ajustant sa veste pour aller dans le sens inverse d’eux et marcher dans les rues un moment. Son portable vibra, mais il avait plus la tête à cela une seule obsession était de retour et ne le lâcha pas jusqu’à se qu’il entra dans un bar tabac. Il prit trois paquets de cigarette, les glissant dans ses poches et à peine sortit en alluma une pour fumer devant regardant le ciel. Il était soulagé, comme si que la chape de plomb qu’on lui avait foutu sur les épaules devenait aussi légère qu’une plume.

La cigarette coincé entre ses lèvres il finit par prendre le téléphone de sa poche pour regarder qui lui avait envoyer un message. Il pensait vraiment que c’était le hunter qui lui envoyait juste un message pour qu’il aille lui aussi son numéro, mais c’était celui d’une tout autre personne qui apparut. Il lu le message qu’on lui avait écrit attentivement. Il allait devoir retourner à York Shin apparemment. Il termina sa première cigarette devant se message, le lisant et le relisant en boucle, comme-ci un message secret allait se dévoiler sous ses yeux, mais rien juste trois mots « Retourne à York Shin »
Visiblement son nouveau patron avait besoin de lui maintenant, il se sentait un peu con de pensé que le hunter allait lui envoyer un message, il l'avait surement prit juste pour faire genre. Son retour vers sa chambre d’hôtel était enveloppé d’un nuage de fumer dans son esprit. Tout se bousculait un peu dans sa tête. Une nouvelle cigarette dans sa bouche, il traversa la route sans regarder, ses pas accéléraient sans qu’il s’en rende compte alors que le klaxonne d’une voiture résonnait dans le vide. Il remonta les marches machinalement jusqu’à se qu’il ouvre la porte de cette maudite chambre. Il la regarda désespérément vide… lentement il récupéra ses affaires pour les rassemblé, autant partir maintenant… il avait envie de compagnie, mais pas ici. Il avait trop l’impression d’étouffer ici, elle était bien trop petite. Cela ne prit pas beaucoup de temps de tout rassembler et ne s’arrêta que pour prendre un café rapidement et de regarder son portable. Il y avait un vol il allait devoir se dépêcher. Il descendit avec ses affaires, le regard presque mauvais de la personne à l’accueil ne lui faisait rien. Il pouvait bien penser ce qu’il voulait de lui, réglant sa chambre, il sortit par la suite interpellant un taxi.

Le chemin vers l’aéroport était calme, personne ne parlait au grand plaisir de Lewis qui avait envie de silence. Le brun monta dans l’avion pour rejoindre la ville sombre qu’il appréciait autant qu’il détestait. Assis à côté d’une jeune femme qui visiblement elle avait envie de parler, il sortit son plus jolie sourire. Elle c’était la première fois qu’elle prenait l’avion et stressait un peu, bien que cynique dans sa façon de la rassurer l’ancien journaliste lui parlait presque tout le long du voyage et même un peu plus. Elle ne connaissait pas la ville et venait pour la première fois ici, un pari dangereux quand on sait l’état actuelle de la ville. Plutôt ouverte, la jeune femme se laissa guidé par Lewis à travers la ville et quand il la mena à son hôtel, elle lui proposa un verre, qu’il ne refusa pas. Il avait besoin de calmé ses nerfs de tout se qui se passait et il allait en avoir besoin par la suite. 

Fin du Rp
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